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Gilles Bataillon Chili, 1973 La chute de Salvador Allende publié en septembre 2013

Fiche de lecture : Gilles Bataillon Chili, 1973 La chute de Salvador Allende publié en septembre 2013. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  7 Mai 2023  •  Fiche de lecture  •  1 230 Mots (5 Pages)  •  119 Vues

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Fatou Traore

Gilles Bataillon Chili, 1973 La chute de Salvador Allende publié en septembre 2013

L’article sur laquelle nous allons travailler est Chili, 1973 La chute de Salvador Allende publié par Gilles bataillon. Gilles Bataillon est un spécialiste de l'Amérique latine contemporaine, sociologue, et aussi directeur d'études à l'EHESS. Le Chili le pays le plus démocratique d'Amérique latine, a subi un coup d'état militaire le 11 septembre 1973, qui met un terme brutal aux trois ans de gouvernement de l'Unité populaire de Salvador Allende, qui était le président à ce moment. Comment le Chili le pays le plus démocratique d’Amérique latine en est-il arriver là ?  

Intro ?

L'or du coup d'Etat militaire envers Salvador Allende le 11 septembre, le Chili a été briser et une radicalité extrême est née. Les caractéristiques de ce coup d'Etat sont sa brutalité et sa dimension refondatrice. Des images de violence des événements sont restées gravées dans la mémoire collective, par exemple le refus d'Allende d'abandonner le pouvoir et de partir en exil ou encore sont suicide pour ne pas obtempérer aux ordres des généraux révolté. Au début du 11 septembre, l'armée prend le contrôle de tous les points stratégiques du territoire du Chili comme les zones industrielles, bidonvilles afin de briser une possible résistance des ouvrier et des habitants. Au Chili les ministres du gouvernement et d'autre qui sont de gauche ou de l'extrême gauche sont renversé. Tous sont immédiatement internés et interrogés le plus souvent torturés et le plus souvent dans des enceintes militaires. Ce coup d’Etat à entrainer beaucoup de mort dont beaucoup de civil innocent tuées par les forces armées. Le pays compte encore près de 8000 prisonniers politique en 1975, tandis que 110 responsables syndicaux ont été assassinés par les forces de l'ordre. Toute cette violence va provoquer l'exil de centaines de milliers de Chiliens.

Ce coup d'Etat laisse sans voix les Chiliens comme les étrangers, car l'armée Chilienne qui a fait ce putsch (coup d'Etat militaire), apparaissait depuis sa victoire dans la guerre Pacifique comme une armées de la nation qui est fidèle à l'Etat et qui n'intervenait pas dans les question politique. Rien ne laisser montrer que dans un pays considérer comme le plus démocratique de l'Amérique latine, qu’une telle rupture aller se produire. Des membres d'un groupe chilien qui sont sociologue, ont très vite remarquer que le coup d'Etat est à cause de quatre phénomènes : les tensions de plus en plus fortes entre les secteurs modernes et d'autre ; l'ambiguïté de la culture politique chilienne face aux principes démocratiques ; la crise politique provoqué par l'élection d'un président socialiste et enfin la volonté d'une partie des élites économique et politique pour effectuer un retour à l'ordre même par un coup d'état militaire.  La partie pas très importante 

La fragmentation de la société chilienne en trois sous-culture politique rivales, chaque jour moins capable de négocier est due à ses relations en grande partie ambiguës avec les processus démocratique. Et pourtant contrairement à la plupart des autres pays d'Amérique latine le Chili bénéficie depuis 1925 d'une constitution d'inspiration démocratique et libérale et, à partir des années 1930 une succession régulière de régimes électoraux libres et un système de partis stable. Toutefois cette démocratie a davantage servi à régler les conflits sociopolitiques qu’à établir un véritable lien social entre des individus reconnus comme égaux. Ainsi de 1948 à 1958, le système politique chilien a interdit le Parti communiste et mis en prison ses dirigeants. Il a fallu attendre les années 1960 pour que le suffrage devienne vraiment universel à la suite de deux réformes électorales. Le fonctionnement du pouvoir n’arrange rien car il consiste à tenir le plus longtemps possible les électeurs à distance. Ce modèle oligarchique est également lié à une représentation très hiérarchisée de l'ordre social : les élites foncières industrielles ou commerciales tout comme les classes moyennes vivent dans un monde hermétique coupé des prolétaires urbains comme les migrants ruraux. Parallèlement pour beaucoup de partisan de la gauche la démocratie est vue comme le voile qui protège les intérêts de la bourgeoisie, son unique utilité serai de permettre un certain progrès social et une consolidation progressive des partis et des organisations de masse pour finalement crée un nouveau type d’état pris en charge par les classes populaires. En bref, le Chili a un rapport très « instrumental » a la démocratie.

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