Complexe hypothalamo hypophysaire

TP : Contraction de l’utérus

Stade du cycle oestral

( faire un petit shéma de l’observation )

Le frottis est riche en cellules superficielles kératinisées anuclées, un grand nombre de cellules allongées en forme « d’aiguilles » sont observables. Nous ponvons donc penser que la rate  étudiée se trouve au stade d’oestrus dans son cycle oestral.

1. Contractions de l’utérus en conditions normales

• Description des résultats
• Conclusion
• Intérêt de la manipulation

Un capteur isotonique est « branché » à l’utérus de la rate in vivo, il mesure la tension des fibres musculaires lisses, représentatif des contractions utérines.

Proestrus :  (9)

[pic 1]

Les contractions sont intenses ( deltaT = 9mm ) atteignant un maximum de 41,3 mm et fréquentes dans le temps.

Oestrus :  (4)

[pic 2]

Les contractions diminuent en intensité par rapport à la rate en proestrus ( deltaT= 4 mm ) mais se situent à un maximum de 47,5 mm.

Dioestrus : (1)

[pic 3]

Les contractions sont largement diminuées en terme d’intensité durant cette phase du cycle ( deltaT= 1 mm ) mais se stabilisent à 47,5 mm.

• La contractilité utérine chez la rate se modifie au cours du cycle oestral. Elle est plus intense au proestrus puis diminue en intensité à l’oestrus pour se stabiliser en dioestrus.
• L’étude de la contraction de l’utérus isolé en temps « normal » permettra par la suite de comparer les résultats en réponse à différents agents indépendamment du système nerveux, à fin d’élucider le mistère de la régulation cyclique oestrale chez la rate. Elle constitue un contrôle de nos expériences.

Quelle pourrait-être l’intérêt physiologique de la contractilité de l’utérus en dehors de la grossesse ?

Les contractions utérines en dehors de la grossesse pourrait êtres impliquées dans le processus d’ovulation ( où elles augmentent ) mais aussi dans la phase lutéale ( où elles diminuent ) pour permettrent l’implantation. Lors des mentruations les contractions s’intensifient pour évacuer la couche superficielle de l’utérus. Les contractions utérines ( lors d’un orgasme par exemple ) permettraient le transport des spermatozoïdes et la lubrification grâce à la glande cervicale, facilitant ainsi la reproduction.

1. Action de l’ocytocine synthétique

• Description des résultats
• Conclusion
• Hypothèses
• Intérêt de la manipulation

Proestrus :

[pic 4]

L’ajout d’ocytocine augmente fortement la contraction utérine de la rate ( le maximum de contractilité passe de 41,3 mm à 45 mm soit un delta de 3,7 mm )

Oetrus :

[pic 5]

L’ajout d’ocytocine augmente fortement la contraction utérine de la rate mais d’une façon moins importante qu’en proestrus ( le maximum de contractilité passe de 47mm à 48,5 mm soit un delta de 1,5 mm ).

Dioestrus :

L’ajout d’ocytocine augmente peu les contractions utérine voir pas ( deltaT = 0,8 environ )[pic 6]

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