TN1010 Gestion du dossier de santé et de sécurité du travail
Dissertation : TN1010 Gestion du dossier de santé et de sécurité du travail. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar sebginoue • 1 Mars 2020 • Dissertation • 1 632 Mots (7 Pages) • 531 Vues
RIN 1015 |
Gestion du dossier de santé et de sécurité du travail |
Fichier-réponse
Travail noté 1 Série A 20 POINTS Feuille d’identité |
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NOM | PRÉNOM |
NUMÉRO D’ÉTUDIANT | TRIMESTRE |
ADRESSE | |
| CODE POSTAL |
TÉLÉPHONE DOMICILE | TRAVAIL |
CELLULAIRE | |
COURRIEL NOM DE LA PERSONNE TUTRICE | |
DATE D’ENVOI | |
Réservé à l’usage de la personne tutrice | |
DATE DE RÉCEPTION | DATE DE RETOUR |
NOTE | |
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[pic 1]
Section 1
- L’accident de travail que j’ai choisi est arrivé dans une compagnie de résidence pour ainés pour laquelle j’ai pu travailler.
L’accident s’est produit lorsqu’une préposée aux bénéficiaires a déplacé un résident de son fauteuil roulant à son lit. En essayant d’utiliser la technique de déplacement appropriée, l’employée a plié son dos et a forcé avec celui-ci. Lorsqu’elle a essayé de déplier le haut de son corps, elle a senti une vive douleur. Le diagnostic fut une entorse lombaire.
Tel que mentionné précédemment, la compagnie est une compagnie privée québécoise de résidence pour ainée avec soins ayant plus de 6 résidences en ce moment. Les soins offerts varient d’une résidence à l’autre, mais le travail est très physique puisque la majorité de la clientèle est composée des personnes semi-autonomes et non autonomes.
- Il s’agit d’un accident du travail, car il répond aux critères d’un accident en vertu de la LATMP.
- L’évènement était soudain, puisque c’est lorsque l’employée s’est relevée que la douleur s’est manifestée. De plus l’accident était imprévu puisque la dame était habituée de faire ce type de manœuvre, il n’était donc pas prévu qu’elle se blesse.
- Il n’y a pas de preuve de négligence grossière de la part de l’employée.
- L’accident s’est produit par le fait du travail. [1]
Il ne s’agit pas d’une maladie professionnelle puisque la blessure de l’employée ne se retrouve pas dans l’Annexe 1 de LAMTP et qu’elle ne répond pas aux types de lésions qui sont considérés une maladie professionnelle.
- Je crois qu’il s’agit d’un risque ergonomique puisque le problème est de la façon dont l’employé s’est penché et le fait qu’elle ait forcé avec son dos lors du déplacement du résident. De plus, de par le type de résidence, ces mouvements sont assez répétitifs puisqu’une grande majorité des résidents ont besoin de l’aide pour quitter leur fauteuil roulant.[2]
- Pour les couts directs, il y a évidemment eu les indemnités de remplacement de revenu, puisque l’employé a dû s’absenter pour quelques mois suivant son accident. De plus, puisque l’employé a dû se rendre en physiothérapie, ces couts sont aussi des couts directs à l’employeur puisqu’ils sont dans le cadre de l’accident de travail.
Les couts indirects ont été en majorité le cout de remplacement de cette employée puisqu’elle fut remplacée par une agence à taux double. De plus, les couts quant aux suivis administratifs font aussi partie des couts indirects liés à cet accident.
Les couts humains peuvent être la douleur que la salariée a ressentie jusqu’à sa guérison. Son entorse créait une douleur vive et soutenue lorsqu’elle se tenait debout, donc il fut difficile pour elle d’endurer cette souffrance.
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