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Par   •  23 Novembre 2014  •  Lettre type  •  1 348 Mots (6 Pages)  •  727 Vues

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Rédaction

Tout d’abord, je défendrai le point de vue de ceux qui pensent que nous pouvons nous faire justice nous mêmes. Ensuite j’exposerai le point de vue de ceux qui ne pensent pas que nous pouvons nous faire justice nous mêmes. Pour finir j’exposerai mon opinion personnelle.

Certaines personnes pensent que nous pouvons nous faire justice nous mêmes, nous venger de quelqu’un ou de quelque chose.

Ce sentiment peut être partagé par des personnes qui trouvent les démarches juridiques trop longues, et qui souhaitent voir le coupable, ou même le criminel dans certains cas, puni rapidement et non plusieurs années après le délit qu’il a commis. Par exemple, certains suspects sont jugés plusieurs années après les crimes, délits commis. De ce fait, les familles des victimes doivent attendre et ont souvent le sentiment que justice ne sera pas rendue.

D’autres personnes, plus dures encore, veulent que le coupable subisse la même chose que la victime, la même souffrance, pour qu’il comprenne que l’acte qu’il a commis était mauvais. Par exemple si un homme marié tue la femme d’un autre homme marié, ce dernier voudra à son tour tuer la femme du premier.

De plus, souvent la vengeance peut être, dans un sens, réconfortante. Le fait de se venger peut faire ressentir un sentiment de justice, de soulagement. Par exemple quand une mère souhaite venger son fils, assassiné, comme dans le texte « Une vendetta » de Guy de Maupassant.

D’autres pensent que se faire justice soi-même est une erreur.

Plusieurs arguments peuvent être avancés.

En effet si tout le monde se fait justice soi-même, ce serait le chaos et chaque personne deviendrait alors coupable. La vie ne serait faite que de violence et serait par la même occasion invivable. Il suffit qu’une personne tue, agresse ou fait quelque chose qui déplait à une autre personne pour que l’engrenage fasse le chaos.

Souvent quand une personne se fait vengeance elle même, elle peut être disproportionnée et peut amener à causer des erreurs, comme le braqueur d’une bijouterie à Nice, tué par balle par le commerçant qui le voyait s’enfuir avec son butin. Ce commerçant a voulu se faire justice lui même en exerçant une vengeance, sans penser que son acte était disproportionné. Ici on ne peut pas parler de légitime défense car l’homme tué était en train de s’enfuir et non de menacer le bijoutier avec une arme.

De plus, se venger ne répare pas les blessures morales ou physiques causées par un quelconque individu. La vengeance n’apporte souvent que des regrets après l’avoir exercée.

On ne peut pas se faire justice soit même car nous ne sommes pas objectif. C’est pour cela que des juges et un jury sont la pour régler des affaires, etc…

Pour finir je pense que l’on ne peut pas se faire justice soi-même car cela peut engendrer beaucoup plus de choses négatives. En France, la justice existe pour punir les délits, et les coupables, selon des lois bien précises et adaptées à chaque cas,

Rédaction

Il était tard alors je devais aller me coucher. Tous les soirs étaient ponctués par le même rituel, ma mère puis mon père venaient dans ma chambre un peu avant que je m’endorme pour me lire le livre que j’avais préalablement choisi. Après notre lecture du soir, je vérifiais sous mon lit qu’il n’y avait aucun squelette, objet de mes plus grandes frayeurs, depuis qu’à l’occasion d’Halloween, un homme de grande taille déguisé en squelette s’est approché vers moi et a commencé à me parler.

Soudainement, le lustre accroché au plafond de ma chambre s’éclaira et je vis arriver dans ma chambre un groupe de plusieurs squelettes. Effrayée, je ne pouvais plus bouger, j’étais comme paralysée. Ils s’approchèrent de moi et commencèrent à me parler dans un langage qui m’était inconnu. J’en tremblais de peur. Il s’éloignèrent ensuite et allumèrent toutes les lumières de ma chambre. Ils fouillèrent mon bureau et tous mes placards. Ils devaient chercher quelque chose mais je ne savais pas quoi. Dehors, j’entendais les arbres bouger à cause du vent, et la pluie battante frappait les tuiles du toit de la maison. Cela sembla durer une éternité, et je ne pouvais

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