Rapport L’obtention d’une certification ou d’un label

Lille, le 12 novembre 2014

Lorelei KIEFER, assistante de gestion À la Directrice, Anaël SOUCHONG

RAPPORT

Objet : L’obtention d’une certification ou d’un label

Madame la Directrice,

En réponse à la lecture de la documentation que vous m’avez laissée, concernant la certification qualité et le label Qualité Asie, j’ai pu définir quels étaient les principes et les différences de ces démarches. D’abord je vais vous présenter les champs d’application de ces notions puis je vous exposerai l’intérêt d’obtenir un label Qualité Asie.

• La certification qualité

C’est une procédure volontaire par laquelle un organisme certificateur indépendant, une entreprise certifiée assurent qu’un produit, processus ou service est en conformité avec certaines normes. Le certificat montre à l’acheteur que le fournisseur obéit à certaines normes, ce qui peut s’avérer plus convaincant que si le fournisseur lui-même l’avait affirmé.

Il existe par exemple la certification ISO9001 qui est délivrée grâce à une conformité à la norme internationale ISO9001. Elle instaure une confiance entre les clients et fournisseurs.

La démarche qualité est un processus d’amélioration continue ayant but la satisfaction des partenaires de l’entreprise. Celle-ci peut être formalisée et prendre appui sur des normes ou référentiels mais n’est pas forcément liée à une recherche de certification.

L’obtention d’une certification n’assure pas forcément la qualité d’un produit ou d’un service mais concerne leurs caractéristiques et n’impose pas d’exigences ce qui ne correspond pas forcément aux attentes des clients.

• Le label Qualité Asie

Cette démarche ne constitue pas une certification, et n’est pas encadrée par des dispositions règlementaires. On peut le trouver sous l’appellation « Contrôlé par un organisme indépendant »

Ce label oblige le restaurateur à respecter un certain nombre de règles.

- Accueillir selon les traditions

- Proposer et cuisiner des repas asiatiques de différentes régions en conformité avec les exigences règlementaire européennes.

- Respecter le reférentiel de la charte de qualité

- Accepter le contrôle tous les 2 ans

- Mettre des fiches satisfaction à disposition des clients

Le restaurateur se soumet également à un audit d’entrée réalisé par un organisme indépendant, qui vérifie les prestations de l’établissement et est sanctionné par un diplôme. Celui-ci vérifie 142 points de contrôle qui assurent la qualité des produits pour les consommateurs .

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