Méthodologie pour les arrêts
Thèse : Méthodologie pour les arrêts. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar dissertation • 8 Novembre 2014 • Thèse • 483 Mots (2 Pages) • 541 Vues
fdgMéthodologie pour les arrêts demandés :
Introduction + chapeau +plan détaillé
Méthodologie commentaire d’arrêt :
Fiche d’arrêt classique
Notions utilisées et jurisprudence associée
Annonce du plan
Rédaction
Introduction : - phrase d’accroche ou citation
Référence de l’arrêt (les juridictions présente pour cet arrêt)
Faits : on déroule la fiche d’arrêt
Problème de droit sous forme interrogative
Ici deux écoles : soit réponse conseil d’état puis plan soit l’inverse (Treshcer : 2ème solution)
I. ……..
Chapeau
A. …..
B. …
II. ……..
chapeau
A. ….
B. …
Citer l’arrêt mais ne pas le paraphrasé
Souvent :
1er considérant : disposition
2ème : fait
3ème : souvent ici c’est ce qui nous intéresse le plus
Rappel d’un acte anormal de gestion :
L’origine vient de la jurisprudence puis article 38 et 39 du CGI qui définissent les substances imposables et fondent le refus de déduction de certaines dépense par une liste limitative.
Critère essentiel : intérêt de l’entreprise
Jurisprudence : 1965 « Constitue un aag l’acte qui met une dépense ou une perte à la charge de l’entreprise ou qui prive cette dernière d’une recette sans que l’acte soit justifié par les intérêts de l’exploitation commerciale. »
Deux types :
Charges étrangères à l’intérêt de l’entreprise
Toute renonciation à un profit
Ces deux substances peuvent se faire soit au profit d’un membre de la société (rémunération excessives, loyer insuffisant, renonciation indemnité) ou à une personne tierce.
Vis-à-vis d’une personne tierce il y a une présomption d’anormalité lorsqu’il n’existe aucun lien.
Néanmoins le fait d’exposer des charges au profit de personne tiers de la société, se fait souvent au profit d’une autre société d’un même groupe.
La preuve du caractère anormale incombe à l’administration, par tout moyen, si elle n’y arrive pas le caractère d’anormalité n’est pas reconnu.
Dans les cas où il y a présomption d’anormalité, c’est à l’entreprise de prouver qu’elle y trouve
...