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Liberté chez les nouveaux nés

Mémoire : Liberté chez les nouveaux nés. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  23 Mars 2016  •  Mémoire  •  415 Mots (2 Pages)  •  620 Vues

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L’homme est esclave de ses besoins.

L’HOMME EST NE LIBRE, ET PARTOUT IL EST DANS LES FERS. LHOMME EST NE LIBRE MAIS SE RETROUVE PAR LA SUITE ENCHAINE PAR SES SENTIMENTS, BESOINS MATERIELS, ENVIE DE SAVOIR, ETC.

Cependant, grace a leur niveau d’éducation, obtenu a l’aide d’autres personnes, l’être en question pourrait avoir une liberté supérieure par rapport au manque de liberté et de conscience impliqué dans le manque d’éducation. D’ou la dépendance de l’homme sur autrui et ainsi, la cause de manque de liberté, pourrait par conséquence être responsable de l’obtention de liberté.

Il existe toutefois de nombreuses formes de prison ou de servitude, mais celle que peu d'hommes considèrent et dénoncent serait la prison intérieure de l’homme, esclave de lui-même.

Nous sommes tous plus ou moins prisonniers de nos peurs, de nos pulsions, de notre caractère, de nos habitudes, de nos émotions. La plupart de nos actions et de nos choix sont mus par ces tendances qui nous dominent. Esclaves de nous-mêmes, nous sommes les seuls à pouvoir nous libérer de cette prison intérieure.

Le nouveau-né n’est que désir, et tous ceux qui l’entourent travaillent à satisfaire le moindre caprice de « Sa Majesté le Bébé » (Freud). Mais en grandissant, il est confronté à de plus en plus de contraintes. D’abord, pour le protéger, on lui interdit de toucher à des objets coupants ou brûlants, de jouer à la fenêtre, etc., puis on lui apprend les bases de la moralité -ne pas mentir, ne pas voler- et même les premiers éléments de la politesse : dire merci, bien se tenir. Puis vient l’obligation d’aller à l’école, ce qui limite d’autant son temps « libre » : celui où il peut faire ce qu’il veut, libre de toute contrainte. Ensuite, à l’adolescence et à l’âge adulte s’ajoutent peu à peu un grand nombre de responsabilités qui limitent encore plus sa liberté : le travail, la famille. Les adultes regrettent souvent le temps de la « liberté de l’enfance », et ne se sentent libres que quand ils n’ont, de la même manière, aucune contrainte imposée.

L’enfant semble donc perdre peu à peu sa liberté en devenant adulte.

Cette première notion de la liberté qui semble donc aboutir à la conclusion que le nouveau-né est le plus libre des hommes a cependant un côté absurde. En effet, celui-ci ne peut rien faire tout seul, il n’est pas autonome. Et les contraintes imposées à l’enfant s’avèrent, à la réflexion, être autant de conditions nécessaires à sa liberté.

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