Lettre à monsieur Mouawad, exercice d'appropriation Français
Lettre type : Lettre à monsieur Mouawad, exercice d'appropriation Français. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar paul_2606 • 18 Décembre 2020 • Lettre type • 1 075 Mots (5 Pages) • 397 Vues
Paul Smith
75008, Paris
paul.sith@gmail.com
Wajdi Mouawad
Théâtre National de la Colline
15, rue Malte-Brun
75020 Paris
Monsieur Mouawad ,
Je me présente, je suis Paul Smith. Je suis metteur en scène, et si je vous communique aujourd’hui c’est pour vous faire une proposition. Tout d’abord laisser moi vous dire que j’apprécie beaucoup votre travail et tout particulièrement l’émotion que vous partager au lecteurs durant leurs lectures. En ce qui me concerne je suis totalement tombé amoureux de l’une de vos pièce : Incendie. A travers cette œuvre vous m’avez totalement bouleverser et c’est pourquoi je vous propose de transmettre ces émotions d’une autre manière. Je voudrais, avec tout vos précieux conseils d’ajustement, permettre à cette magnifique pièce de vivre sur scène, et donc de la mettre en scène.
Je ne vais pas le cacher, mettre en scène votre œuvre ne sera des plus facile. Mais je pense que le publique peut encore découvrir beaucoup sur cette histoire de famille plus qu’atypique mais a la fois tellement émouvante.
Je pense que beaucoup de passages vont être très intéressants à mettre en scène.
Je pense notamment au passage où on apprend toute la vérité sur le passé de Nawad. Durant toute la durée de l'histoire le publique se mettra à la place de Simon et Jeanne , et comme nos deux protagoniste le publique mènera son enquête tout en se laissant porter par les différents évènements. Et lors du dénouement final le publique comprendra que le fils et le père de Jeanne et Simon ne sont qu'une même personne c'est vraiment une dure réalité surtout pour les personnages. Cette révélation bouleversera le lecteur qui éprouvera alors de la pitié pour la mère et les personnage, mais comprendront également que c’est en cela que la piece est totalement bouleversante.
J’apprécie également beaucoup le passage émouvant ou Jeanne apprend que sa mère était à la prison de kfar rayat, cellule 7, numéro 72 qui correspond à la veste en toile verte laissé en héritage, et surtout elle apprend que sa mère était torturé et violée par Abou tarek, ce qui d'après l'ancien gardien de prison était banal et qu'elle était surnommé la femme qui chante, ce qui la rend amer puisque sa mère ne lui en avait jamais parlé.
En ce qui concerne les autres aspects de la mise en scène, j’avais penser à de beaux grand et réalistes décors. Que cela soit pour le Québec, ou on pourrait imaginer de la neige tomber sur scène, avec bien évidemment des costumes réalistes et en accord avec le lieu et le temps de la pièce. Ou que cela soit dans ce fameux « pays natal » ou encore « le pays de votre mère » comme vous le nommer dans la pièce, nous feront en sorte d’offrir le meilleur cadre visuel à votre histoire, afin que le spectateur soit réellement plongé au cœur de cette magnifique histoire.
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