Les Grandes Questions Que Se Posent Les économistes

Chapitre 1 : Les grandes questions que se posent les économistes

I. Dans un monde aux ressources limitées, comment faire des choix ?

1. Définition de science économique

La science économique est la science des ressources rare. Les ressources sont, tous les biens et services à dispositions. Il existe un déséquilibre entre nos besoins et les ressources disponible, c’est ce qui fait exister l’économie. L’économie existe grâce au problème de la rareté.

2. Des choix sous contraintes

Les individus doivent procéder à des choix en raison de contraintes liées aux produits : le prix, la qualité, utilité, satisfaction apporté.

En économie l’utilité est souvent une utilité marginale décroissante. A savoir qu’elle diminue avec la quantité. Plus ont boit moins ont a soif.

Il existe également des contraintes, spatiales, pour stocker les produits et des contraintes temporelles.

II. Cadre d’analyse des néo-classique

Le néo-classisme est né dans la seconde partie du XIXème siècle. Il s’agit d’un modèle et non d’une réalité qui prône le libéralisme et l’autonomie des entreprises.

1. La démarche micro-économique

Il existe deux démarches qui explique le comportement économique et sociologique, l’individualisme méthodologique et la démarche holiste.

Les néo-classiques portent sur la première démarche, ils partent des individus et l’addition de leurs comportements forme la société. Le holisme lui par de la société qui pèse sur les individus.

2. L’hypothèse de rationalité des agents

Pour un anti-alcoolique ou un religieux pratiquant il faut préférer l’eau au vin, c’est un jugement de valeur. Mais un économiste lui n’admet pas de boire de l’eau plutôt que du vin ou l’inverse. Il n’est pas plus rationnel de boire l’un ou l’autre. Un économiste ne porte pas de jugements sur la fin poursuivis, qu’elle soit morale ou non. Un agent est considérer comme rationnel si il emploi au mieux les moyens pour atteindre un objectif. Il faut mettre les bons moyens pour atteindre un but, c’est l’efficacité. Une rationalité efficiente revient à utiliser le moins de facteurs de production possible. Il existe deux facteurs le travail et le capital

3. L’homo économicus

C’est à mettre en relation avec la démarche micro-économique. On part de l’individu. L’homo économicus est un individu rationnel, qui poursuit son intérêt personnel mais en servant son propre intérêt il sert également l’intérêt général.

L’individu en suivant son intérêt privé va être diriger par une « main invisible » et servir l’intérêt général.

4. La théorie de la concurrence pur et parfaite

La concurrence pur et parfaite est un marché, c’est la meilleure solution selon les néo-classiques. Elle nécessite que cinq conditions soient réunis : Atomicité ( Multiplicité d’offreur et de demandeur ) ; l’homogénéité ( tous les services et biens sont identique, c’est la standardisation ), la libre entré sur les marché, la transparence ( Même information pour tout le monde ), et la mobilité des facteurs.

III. Que produit-on et comment le mesure t-on ?

1. La notion de production

A. Production marchande et non marchande

La production marchande est la production qui est vendu au prix du marché. Elle est vendue à un prix supérieur à 50% du coût de production. Tous les biens sont marchands mais pas tous les services. La production marchande représente environs 80% du PIB.

Les services non marchands, sont des produits donnés à titre gratuit ou quasi gratuit à un prix inférieur à 50% du coût de production. Dans la production non marchande on compte les productions personnelles,

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