« Le joueur de luth » par Hendrick Martensz Sorgh datant de 1661.

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                                                         Commentaire d’image

                                                           « Le joueur de luth »

   Le joueur de Luth, est une œuvre créer par Hendrick Martensz Sorgh datant de 1661.

Il s’agit d’une peinture à l’huile publié à Amsterdam. Aujourd’hui encore elle y demeure.

Ses 51,5 cm de et ses 38.5cm de largeur d’écrive le monde de la musique. Le titre de l’œuvre d’art The Lutenist en version original, fait directement écho au personnage du premier plan et son rapport avec le monde musical.

Nous décrirons dans un premier temps l’image puis nous l’interpréterons.

   Cette peinture nous montre deux personnages, un homme et une femme.

Par déduction nous savons que l’homme est le joueur de luth est la femme probablement la sienne. Lui joue de la musique avec son instrument pendant qu’elle l’écoute très attentivement et pose un regard rêveur sur son luth.

   Au premier plan nous voyons le joueur de luth peint en plan moyen.

Il est jovial et son vêtement témoigne de son époque. Il porte des couleurs assez chaudes et des habits traditionnelles plutôt confortables. De ses mains il joue son instrument accoudé près de son épouse qui elle figure sur la peinture en plan rapproché.

Le peintre à notamment voulu appuyer sur son regard. La scène est éclairée, et la fenêtre ouverte en arrière-plan rajoute de la grandeur à la peinture dont le plan et un plan d’ensemble.

Le contexte fait référence à un couple bourgeois vivant au Pays-Bas. L’ouverture du salon sur la rive et les demeures témoigne de la richesse du couple, le sol lui est marbré, et un chien et un chat sont allongés. De plus on trouve sur la table un verre de vin rouge est une corbeille de fruits pour souligner le fait qu’il s’agit d’un couple noble, capable de manger à leur faim. Les couleurs rougeâtres et oranger font rappel à l’automne.

   Selon moi le contexte de l’image est ici de représenter le joueur de luth comme étant essentiel à la vie. Comme vu précédemment la scène se déroule en automne saisons ou les arbres perde leurs feuilles pour recommencer un nouveau cycle, et ou les oiseaux chante sur les branches. Ici le musicien et comparé à l’oiseau, le rossignole qui chante pour redonner la vie, fleurir la nature, la rendre verdoyante.

Les yeux de son épouse sont eux-mêmes fleuris. On n’y trouve de l’amour.

La scène est étonnante de calme, le temps est figé. Cette idée est présente grâce au linge encore froissée disposer sur une chaise en premier plan. La nappe poser sur la table et blanche, la blancheur est un symbole de pureté et d’apaisement. Les animaux étendus au sol sont décontractés et profite également des quelques notes de musique, ce qui renforce cette idée d’une scène chaleureuse, de par sa lumière, l’attitude des personnages et des animaux et des symboles mis en avant.

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