Le Nickel

Les impacts de l’exploitation minière en Nouvelle Calédonie

Le précèdent boom minier a eu des effets bénéfiques pour la Nouvelle-Calédonie, avec une nette élévation du niveau de vie, mais aussi des conséquences néfastes comme la récession, le chômage, l’exode rural et principalement des dégâts environnementaux importants.

Ces dégâts environnementaux, qui sont dus aux mines de nickel à ciel ouvert qui on leur surface de terres latérite dénudées, affecte directement la végétation, très fragiles, qui est détruite par la prospection et les travaux d’extraction.

Nous pouvons voir ici le stockage de « stériles » (la mise en verse), qui fait partie des actions environnemental effectué par de nombreuses mines. Nous remarquons une net dégradation de la nature entre les parties encore préservée (non touchés par l’exploitation) et la partie exploitée.

http://www.sln.nc

L’accumulation de déblais de latérite rejetés sur les pentes de la montagne provoque des dégâts importants lors de fortes pluies, comme l’entrainement des matériaux dans les rivières, l’ensevelissant la végétation, parfois la mort aussi la faune aquatique, l’inondations répétées des cours d’eau, la pollution esthétique des plages, l’atteintes de la faune et la flore marines par l'accumulation de matériaux fins entrainés lors de périodes de fortes pluies. Les effets nocifs à long terme de cette pollution restent toutefois assez mal identifiés.

Nous voyons ici le recèlement de fines particules du sol mis à nu par l’extraction à ciel ouvert du nickel, qui se dépose sur les récifs, et occultent la lumière nécessaire au corail.

http://outremer.mnhn.fr

Nous voyons ici des poissons du lagon calédonien, qui sont "cuits" sous l'effet de l'acide sulfurique. Pour cette image, des études affirment que cette catastrophe est causée par l’usine de traitement de nickel Vale Inco dont les incidents à répétition menacent la faune et la flore de la Nouvelle Calédonie.

http://observers.france24.com

Les solutions mises en places pour préserver la biodiversité de la Nouvelle Calédonie.

Ces dégâts sont difficiles à réparer et nécessitent des actions très couteuse pour empêcher une érosion. Cela ce fait par une gestion des eaux de ruissellement et une revégétation des zones minières. Ces actions permettent une amélioration environnementale qu’après des dizaines d’années. Il y a également la nouvelle règlementation qui impose désormais aux exploitants un contrôlé de l’érosion et du transport des minéraux et exige une réhabilitation progressive de toutes les surfaces dénudées. Des organismes de recherche du développement durablement du territoire comme l’IRD, l’IAC, l’Université́ de Nouvelle-Calédonie, le CNRS ou le

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