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La Filiation Dans L'antiquité Romaine

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Par   •  5 Octobre 2013  •  404 Mots (2 Pages)  •  2 448 Vues

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Leçon 2: La filiation dans l'antiquité romaine

De façon générale de la filiation à pour objet d’institutionnalisé la transmission d'avis et la perpétuation de l'espèce humaine. Il existe une conception commune de la filiation en la plupart des pays européens continentaux, filiation : lien de droit qui relie l'enfant à ses parents et qui se superpose ou non aux biens biologique il se définit toujours en référence aux liens biologiques. C'est pour cette raison que la filiation de décompose en 2 branches : maternelle et paternelle. Le lien biologique sert de modèle, la filiation est conçue comme une imitation.

La filiation a pour finalité à l'individu de se placer dans les générations objectivement. La filiation permet de désigner les éducateurs, en faisant naître de part et d'autre des droits et obligations. Etre parent est un état, un statut.

Cette conception est très éloignée de la définition romaine de la filiation né en moin l'antiquité romaine a posé pour la 1ère fois le principe du caractère juridique de la filiation. Rome à assister sur le ccaractère juridique de la filiation a un point telle qu'ell lui a donné un caractère volontaire, qui s'illustre par la toute puissance du pater familias. Qui peut rejeter un enfant de sa parenté. L'importance du caractère juridique de la filiation s'explique par le fait que initialement c'est par son intermédiaire que l'on insère l'individu dans la parenté, dans la famille du père et dans la cité romaine. Il faut que le droit romaine contrôle ce mode d'intégration. Le lien de filiation est contrpolé car son caractère juridique découle du mariage c'est la clé de voûte, car le mariage va rattacher l'enfant de la mère à son mari (obligation de fidélité) conséquence: grâce au mariage on contrôle la filiation, on intègre l'enfant dans la :

-parenté agnatique du père

-on lui donnne une filiation légitime

En dehors du rattachement de l'enfant à un père iil n'y a pas de possiblité d'intégrer un enfant à une parenté agnatique donc impossibilité de lui donner une filiation légitime conséquence l'enfant n'aua pas la qualité d'héritier. De là découle la distinction fondamentale entre la filiation légitime et ilégitime. Néanmoins on assiste à une évolution:

1ère Etape:

753-milieu du 2sècle av JC.

Seul la filiation légitime est la filiation juridiquement reconnue

2ème Etape

Au Bas empire: sous l'influence de l'Eglise on reconnaît des effets juridique à la filiation cognatique , tendis que sort des enfant né hors mariage est adoucis.

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