L'homme à L'envers

Fred Vargas est née le 7 juin 1957 à Paris. Elle est romancière et n’écrit pratiquement que des romans policiers. Beaucoup de ses livres ont été récompensés.

C’est un petit livre, plutôt facile à lire, avec environ 370 pages.

L’histoire, qui est une enquête plutôt captivante et intéressante, contient de nombreux rebondissements et du suspense.

Les personnages sont attachants et tous vraiment différents, et à leur façon originaux.

Les personnages principaux :

-Camille, un peu garçon manqué dans ses goûts et manières mais tout de même attirante

-Suzanne, grosse femme assez vulgaire mais au fond qui a plutôt bon caractère

-Soliman, jeune africain, fils adoptif de Suzanne, il est très intelligent mais avec un caractère bien trempé

-Le Veilleux, il porte bien son nom car sans le montrer il regarde tout et surveille

-Lawrence, compagnon de Camille, il est canadien et plutôt réservé

-Adamsberg, policier, connaissance de Camille, il a un caractère et un physique un peu spécial

-Massart, homme célibataire et rejeté

L’Histoire :

Après avoir fait la liste des principaux personnages voilà mon résumé de cette histoire.

Tout commence, par la mort de plusieurs brebis dans le Mercantour. Les avis fusent mais l’un d’eux reste étrange, certaines personnes pensent qu’un loup-garou vient d’arriver dans le coin et qu’il n’est pas près de s’arrêter. Sauf que quelques jours après la mort des brebis une femme est assassinée. Tout ceci commence à inquiéter les gens des alentours. C’est alors que Camille, le Veilleux et Soliman vont se mettre à la poursuite de cet être mythique. Mais ce qu’ils découvriront au fur et à mesure ne fera que les étonner et donner l’envie de continuer de lire au lecteur.

Mes avis :

J’ai beaucoup aimé cette histoire mais je n’ai pas aimé la façon d’écrire de l’auteur. A certains moments les mots employés ne sont pas tellement appropriés. Sinon l’enquête sur la bête est bien imaginée et on pourrait même penser que c’est réel. Lorsque j’ai eu fini de lire le livre je ne pensais pas que cette bête était celle qu’elle était. Je n’en dirais pas plus. A vous de lire à présent.

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