Histoire Vendredi 13

CHAPITRE 1 : VENDREDI 13

- Salut journal moi, c'est Charly et je vais te raconter mon histoire !
Mais avant tout, je vais me présenter à toi !
J'ai 13 ans et je vis dans une ville connu sous le nom d'Isuicid une ville qui se trouve en Amérique perdue entre montagne et forêt dense !
Je suis actuellement en 4* et je suis en train de vivre les pires années de ma vie !
Alors journal est tu prêt à entendre mes histoires les plus terribles ? Voilà ce que je lui avais écrit

" - Oui, je suis prêt à t'entendre Charly ! M'avait-il répondu ?
- Tu sais communiquer avec moi, mais par quels moyens ?
- Tu le seras très bientôt ,,, me répondit-il avec un air mesquin "
Je sortis de ma bulle, lâchant mon journal !
Je me dirigeais alors vers ma salle de bain où encore, je regardais ce miroir brisé
Une seule question m'obcedé tout les matins, pourquoi mon miroir un beau jour m'avait t'il explosé en plein visage ? Et surtout pourquoi un vendredi 13 ?
Je vais vous raconter ce qui s'est passé
Vendredi 13 février :
Je me réveillais tranquillement et doucement dans ma chambre pendant que mon père partait au travail.
Je me suis levé prit mon journal et écrit "Vendredi 13 février : Cher Journal nous sommes le 13 ce jour que je ne sens jamais, ce jour où toutes les misères m'arrive alors je ne sais pas si je dois allais en cours, rester cher moi, sortir je ne sais pas ? ... "
Je refermai ce journal pour aller me changer ! Petit jean déchiré, t-shirt blanc avec par-dessus une veste airness et une casquette, car pendant ces jours, la chaleur était au rendez-vous !
"- Charlyyyy !!!! Cria ma sœur
- J'arrive
- Dépêche toi putain tes chiant j'ai besoin que tu m'aides !
- Oui bah ça va Dorine, j'arrive ! Lui dis-je avec colère "
Je pris mon calme et descendu !
" - I'm here bitch !
- Tient monte ton linge et le mien en même temps !
- Non, je monte que le mien, tu as 2 pied 2 bras utilisent les putains !
- Ferme ta gueule sérieux et monte mon linge ! Hurla telle
- NON tu comprend ou comment ça se passe ? "
Je montai en courant dans ma chambre claquant ma porte !
Je pris mon journal pour continuer mon écrit !
" - Comment ça, je le serai plus tard ?
- Ton histoire, je la connais Charly et sache qu'elle ne fait que commençais !
L'enfer continue alors retiens juste une chose tu n'est pas fou alors tient bon ! M'écrivit mon journal
- Tu veux me dire que ma vie sera pire que ce que je vis actuellement ?
- ........ Il ne me répondit juste par des points de suspension
- Journal ? "
Je nus plut aucune nouvelle,
Je le refermai et je décarpis de cher moi comme si je fuyais tous problèmes !
J'allais me balader sur un chemin de fer contemplant la beauté de ce monde isolé que je découvrais !
Je marchais 1 h puis 2 puis 3 sans m’arrêter, je fuyais, mais je ne savais pas quoi !
Sur mon chemin, je découvris un homme d'une quarantaine d'années marchant désespérément sans trouvais son chemin alors je courus vers lui et je lui adressai la parole :
" - Bonjour monsieur ... Vous cherchez quelque chose ?
- Non, j'avance vers la mort ! Me répondit-il
- Mais de quoi me parler-vous monsieur ? Qu'alliez-vous faire ?

- Charly, je ne peux te dire, mais suis moi ...
- Comment savez-vous mon prénom ? Et je ne peut vous suivre !
- Tu le sauras obligé !!!"
Tout à coup, je sentis en moi comme une liberté, un truc qui m'avait changer, je ne sais pas qu'est-ce que c'était, mais je voyais le monde différemment
Je sentais leurs touchers sur mon corps leur chuchotement et leur rire agaçant !
Je me laisser alors sombré dans l'enfer sans le savoir
Une force me poussait à suivre cet homme alors je continuais ma route tout en le suivant avec la peur au ventre
Nous marchions côte à côte sans un mot
Notre discussion se fut dans nos yeux, pleurant cet homme marchait et moi triste, stressé et angoissé, je le suivais
Il marchait comme si ça vie n'était qu'un tas de merde, d'accumulation, un tout !
Je regardais au loin et je vu un pont, dans ces yeux je vu une lueur rayonnait alors je compris ce qu'il allait faire ...
" - Monsieur vous ne pouvez pas faire ça, votre famille et votre vie ne fait que commençais ! Lui dis-je d'un ton stressé
- Charly, je suis obligé ce calvaire doit s'arrêtait une fois pour toute !
- Mais pourquoi vous voulez que je vienne avec vous ?
- Tu prendras le relais, je te laisse mes problèmes, je pense que tu seras me les arrangés !
Je compte sur toi alors ne lâche pas ! "
Nous étions sur le pont et je le regardais dans les yeux
Il me fit un signe de la tête comme pour me dire adieu alors je me tournai et j'entendis le cri des oiseaux, la flore chantante et cet homme qui tombais
" - POUFFF
- Nonnnn, que vais-je faire ?
- Ne fais rien pars juste ne laisse aucune trace de ta venue ici, cours sans jamais t’arrêtait !
- Qui me parle ?
- Le vielle homme que tu viens de voire se suicidait, c'est moi, je suis Haeley
- Mais vous êtes ... Alors comment puis-je vous entendre ?
- Tu le sais Charly, tu n'es pas comme les autres, tu es différent, mais fais attention ce don n'est pas à prendre à la rigolade alors n'en parle pas ! Si tu en parles, il te prendra pour un fou comme pour moi !
- Haeley ceci n'est pas possible ! Tu me dis que je peux communiquer avec les esprits, et l'au-delà ?
- Pour le moment, tu ne peux que faire ceci ! Mais tu découvriras que tu es bien plus fort !
- Merci Haeley, mais maintenant, je m'en vais sans jamais me retourner !"
Après cette discussion avec Haeley, je pris mes jambes et courus sans jamais m’arrêtais !
À mi-parcours, je n'en pouvais plus, alors je me posai quelques minutes pour reprendre des forces
Je repensais à ce qu'il venait de m'arriver ! Je ne comprenais toujours pas comment je pouvais communiquer avec eut !
Je regardais l'heure et il fut 18:07 alors je me remis en chemin toujours en courant !
Sortant des rails, je rentrai cher moi en pleure !
Arrivais devant ma porte, je m’essuyais les joue pleine de larmes puis frappa à la porte !
" - TOC TOC TOC !!!
- J'arrive ! Cria mon père
Il m'ouvrit est me dit :
- Et bien enfin où étais tu toute cette après-midi ?
- Je suis allais me balader avec Alexia
- D'accord, bon, alors, va prendre ta douche et puis tu descendras manger
- Non, je n'ai pas très faim ce soir papa
- Ce n'est pas grave ! Me dit-il "

...