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Histoire Sociales Des Pratiques Culturelles

Mémoire : Histoire Sociales Des Pratiques Culturelles. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  3 Octobre 2013  •  715 Mots (3 Pages)  •  1 177 Vues

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Histoire sociale des pratiques culturelles

Vocation : idée de destinée, dans les gênes il y aurai un intérêt pour l’art, la religion…Construction sociale = héritage sociale.

Vocation artistique :

Les activités artistiques sont généralement considérées comme le terrain d’expression de l’individualité et de la subjectivité, ex : concernant l’art, la musique, il y a un fort degré de personnalisation. Ces activités se caractérise par le charisme d’une personnalité unique (charisme = prestance, dégage quelque chose). Dans ces activités artistiques, le don individuel en serait un principe. A l’inverse de toutes les autres professions où c’est la compétence qui caractérise l’activité. La compétence étant définie par un niveau de diplôme. C’est pourquoi on parle de vocation. Les métiers a vocation : religion, l’art, l’enseignement… Ces métiers impliquent l’idée de mission, de service à la collectivité, de don de soi, ou de désintéressement (économique).

Bourdieu a écrit en 1984 : « Un acte de désintéressé est-il possible ? » il explique que l’acte pur désintéressé n’existe pas. Il n’y a pas d’art sans marché d’art, les artistes vont se positionner par rapport aux autres artistes.

Au 18e siècle, la notion d’intérêt se restreint uniquement au sens de profit économique. Quand on se déclare être désintéressé c’est pour se distinguer du travail manuel et des activités marchandes. Si le désintéressement est d’abord religieux, il se propage dans le monde de l’art ce qui permet de distinguer le plaisir esthétique des émotions vulgaires.

A la fin du 18e, l’ensemble des vocations artistiques s’unifie autour d’une conception de l’œuvre comme une fin en soi. Il n’y a pas de vision marchande, c’est l’œuvre pour l’œuvre, elle n’a pas vocation à être présentée au public. Ce modèle de la vocation st le mode privilégié de l’exercice des métiers artistiques. L’art est quelque chose de bourgeois car les artistes ne cherche pas à vendre, c’est une vocation aristocratique. Dans ce modèle il y a un idéal de liberté, ce qui implique que le travail artistique c’est d’avantage la création que l’exécution. Cette conception de la vocation suppose un investissement total (souffrance corporelle et morale, désintéressement) qui permet de se distinguer des taches routinières. A la différence des vocations religieuses très encadrer par l’église, les vocations artistiques semble se dvp en dehors de toutes contraintes, ce qui permet à l’art de se distinguer des taches répétitives des danseurs, des interprètes. Cet apprentissage se réalise dans les familles. Il existe des conditions sociales pour les vocations artistiques. Il y a donc une adhésion individuelle a cette croyance de la vocation.

Ces représentations vocationnelles ont évoluées dans les temps et notamment au 20e siècle car à la transmission des connaissances artistiques dans le milieu scolaire. Il y a eu restauration des pratiques culturelles.

Sociologie des gouts culturels :

La sociologie des gouts artistiques caractérise généralement les comportements des individus issus des classes supérieurs. Ce comportement

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