Étude de cas: la marque Nike

ETUDE DE CAS : NIKE

1. Connu sous le nom de BRS en 1962, la marque Nike a été officiellement lancé par Phil Knight et Bill Bowerman en 1972. C’est une entreprise à but lucratif œuvrant dans l’industrie et surtout dans le domaine sportif. Son métier : « la conception et la commercialisation de chaussures, de vêtements et d’accessoires sportifs.

C’est une entreprise en récession car elle atteint jusqu’ à 1211,6 millions de dollars de bénéfice en 2005. Cependant, elle a connu des haut et des bas à cause des grèves et des crises comme en 1998(bénéfice= 399 millions de dollar),et en 2003( avec 474 millions de dollar)

2. Philip Knight est à la fois, président directeur général, fondateur et actionnaire majoritaire ( 36% des actions) de Nike.

3. Pour atteindre sa position actuelle, voici les décisions prises par la direction :

- l’application des coûts de production minimum. Nike travaille avec des sous traitant indépendants d’Asie mais il y trouve ses mains d’œuvre qui sont à bon marché, abondants, et faciles à former .

- avec le slogan : « just do it », l’entreprise cible surtout les jeunes consommateurs pour les chaussures de sport

- La délocalisation

-Les activités de l’entreprise sont surtout la commercialisation et le stylisme.

-Les dirigeants de l’entreprise aident ses partenaires à s’adapter dans le pays le plus intéressant

- les risques de production sont pris par le sous traitant

- l’exigence de la qualité

Faire une marge de 100% entre usine et détaillant

- La force de communication et d’innovation

4. Dans les pays sous traitants, les ouvriers sont amenés à travailler dur, 12h par jour pour atteindre la quantité de production imposé, alors que leur salaire n’est que de 40 dollar par mois. Par conséquent, ces ouvriers sont démotivés et en colère. Pour changer la situation, ils se sont mis en grève mais même leur liberté syndicale n’a pas été respecter. Il se peut aussi que les employés démissionnent ou diminuent leur force de travail, leur résultat s’ils continuent à travailler.

5.

- L’intrusions des l’organisations qui sont des syndicats, des activistes et ONG dans l’amélioration des conditions de travail. Ils demandent à Nike de se conformer aux conventions fondamentales de l’organisation international du travail c'est-à-dire à respecter les libertés syndicales, offrir des salaires et conditions de travail décents et de respecter les normes. Pour cela, ces organisations procèdent à des vérifications et des enquêtes sur les lieux de production. Ils ont des recherches qui ont montré que rien n’a changé malgré les promesses de Philip Knight.

- Des actions de consommateurs, de groupe d’étudiants, et d’actionnaires Nike en se manifestant aux Etats –Unis, au Canada, en Australie et dans le continent européen qui demandent l’amélioration de la situation des travailleurs et en distribuant des autocollants «

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