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Culture G, consommation et comportements

Thèse : Culture G, consommation et comportements. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  24 Mars 2016  •  Thèse  •  610 Mots (3 Pages)  •  740 Vues

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Synthèse

La consommation est un acte présent dans notre vie de tous les jours depuis plus de cinq décennies. Notre consommation est parfois tellement importante qu’on en perd notre état de conscience ce qui nous amène à consommer sans même que l’on s’en rende compte. Mais cette surconsommation, ne peut-elle pas être liée à un problème plus important ? Tel qu’un problème de santé, une addiction ou tout simplement une constante nécessité de s’affirmer, relevant du narcissisme ? Pour y répondre nous avons à disposition trois textes dont une illustration. Dans la fièvre acheteuse Achille Weinberg nous parle de l’addiction aux achats, plus proche de nous, l’extrait de dis-moi ce que tu consomme, et je te dirais qui tu es de Nicolas RIOU, ce dernier nous parle de la quasi manipulation mentale qu’apportent certains objets. Enfin dans Smartphones Smartphones, toutes folles de lui un article du site internet Womentology nous apporte des statistiques réalisées autour des Smartphones.

L’acquisition permanente de nouveaux objets est devenue un besoin nocif, jusqu’à être considéré comme un trouble mental dans les cas les plus importants.

D’abord, on constate qu’il existe une accoutumance lié à la consommation, Achille WEINBERG nous parle de l’addiction aux achats, lorsque l’on rentre dans un magasin, on est pris d’une « fièvre » mentale. En regardant les articles, on les imagine en notre possession et le plaisir qu’il nous apporterait si on venait à l’acquérir. Mais se faire plaisir à également ses vices, on est très rarement pleinement satisfaits de ce qu’on a, on a tendance à en vouloir toujours davantage.

L’article de Womentology, nous évoque également cette addiction, mais cette fois ci vis-à-vis des Smartphones, il s’agit là moins d’une dépendance à l’achat, mais d’une accoutumance à l’utilisation du bien. Tout comme pour les acheteurs compulsifs, les dépendants à leur téléphones sont majoritairement des femmes.

Ensuite, la consommation est due à un narcissisme évident du consommateur, et son besoin de s’affirmer, en montrant son statut et en valorisant son estime personnelle. Nicolas RIOU dans son écrit, nous dit que les objets n’ont plus uniquement la valeur utilitaire, ils se transforment désormais en marqueurs sociaux, on n’achète plus une voiture uniquement pour se déplacer, mais aussi pour montrer qu’on possède, cette marque, ou ce modèle.

L’article de Womentology sur les Smartphones nous parle également de ce besoin de reconnaissance, les plus touchés sont les hommes, qui éprouvent une nécessité de toujours détenir la technologie la plus pointue, pour montrer qu’on possède un appareil qui est souvent très coûteux.

Enfin, l’accumulation des objets inutiles est aussi l’insatisfaction éternelle du consommateur, l’illustration du Casseur de pubs nous met en évidence cette éternelle insatisfaction de l’homme assit sur l’immense pile de tout ce qu’il possède. Même en ayant satisfait ses désirs compulsifs en achetant tout ce dont il rêve, de la maison jusqu’à la voiture et la moto, il reste néanmoins pas satisfait dans son envie de toujours obtenir ce qu’il ne possède pas encore ou même ce qu’il n’existe même pas encore.

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