LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

Comparez les deux versions de la fable « Le chêne et le Roseau » d'Annouil et de La Fontaine

Dissertations Gratuits : Comparez les deux versions de la fable « Le chêne et le Roseau » d'Annouil et de La Fontaine. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  11 Décembre 2012  •  630 Mots (3 Pages)  •  1 198 Vues

Page 1 sur 3

2) Comparez les deux versions de la fable «  Le chêne et le Roseau »

Dans ces texte ont a affaire a une Chêne et un Roseau qui signifie alors la loi du plus fort face au plus faible, mais aussi la loi de la nature pour ces deux végétations.

Jean de La Fontaine a écrit cette fable puis Jean Anouilh la réécrite a sa manière

Nous allons comparer les deux fables en commençant par celle de Jean de La Fontaine:

La Fontaine décide de faire parler en premier dans sa fable Le Chêne pour montrer directement son signe d'autorité envers le Roseau. Dans sa manière de parler on ressent de la fierté, aussi grâce a son langage soutenue. Le chêne utilise hyperbolique, il exagère souvent :(V6) « Vous oblige à baisser la tête. » Jusqu'au milieu de la Fable, Le chêne utilise le champs lexical de la force : (Vr8) « Non content d'arrêter les rayons du Soleil », (Vr9) « Brave l'effort de la tempête. » ( Vr10) « Tout me semble Zéphir. » (Vr12) « Je couvre » et (Vr14) «  Je vous défendrais de l'orage »

Le chêne dénonce la nature (Vr2) « Accusez la Nature », (Vr17) « La Nature envers vous me semble bien injuste » (Vr22) « Épouvantable »

Le chêne emploi beaucoup de pronoms personnels oui possessif comme « je » « me » « mon »

qui montre la domination car il se valorise par rapport au Roseau

Il fait l'éloge de toute ses qualité pour secourir en cas de besoin le Roseau , même quand il dit «  Je vous défendrais de l'orage » alors qu'il ne faut pas s'abriter en dessous d'un arbre lors d'un orage, il propose ses services alors qu'il ne peut rien faire.

Le chêne a monopolisé la conversation entre lui et le Roseau.

Au vers 18, enfin la parole du Roseau, Il répond alors aux propositions du Chêne.

Dans ses paroles succincte on ressent un signe de faiblesse par rapport au Chêne qui lui essayer de se mettre en valeurs, de monopolisé la parole, de faire quelques hyperbole alors que le Roseau ne fait rien de ces choses la. Il fait des réponse brèves, sans exagération qui est tout le contraire du Chêne. Le Roseau emploie les pronoms personnels « je » et « me ». On remarque vers 18 une diérèse « Votre compassion ». Il fini son discours un peu en attende, un défi peut être avec le Chêne car ils attendent la suite. (Vr24) « Mais attendons la fin » Le Chêne et le Roseau laisse place a la nature qui « fait son travail ».

Pour la morale, elle est implicite car Jean de La Fontaine laisse le lecteur deviner la suite par rapport au fait qu'il vient de ce passé. La morale c 'est que le roseau s'est plié mais ne s'est pas déraciné alors qu'en revanche le chêne lui il s'est déraciné. Alors on peut dire qu'il ne faut pas être toujours fort pour gagner.

Pour ce qui concerne le texte de Jean Anouilh, a écrit une fable qui s'opposent a celle de Jean de La Fontaine.

Au début de sa fable Anouilh utilise le même vers que Jean de La Fontaine mais on y remarque que le Chêne et le Roseau de La Fontaine deviennent

...

Télécharger au format  txt (3.8 Kb)   pdf (61.7 Kb)   docx (9.3 Kb)  
Voir 2 pages de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com