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Assurance Sécuriplus

Étude de cas : Assurance Sécuriplus. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  6 Octobre 2017  •  Étude de cas  •  842 Mots (4 Pages)  •  655 Vues

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En quoi l’entreprise Assurances Sécuriplus correspond aux principes de la division du travail et de l’organisation scientifique du travail?

Tout d’abord, l’entreprise Assurance Sécuriplus correspond au principe de la division du travail puisqu’elle contient plusieurs départements avec différents niveaux hiérarchiques, complétant des tâches distinctes et atteignant de différents objectifs.

L’entreprise Assurance Sécuriplus était principalement former de 3 divisions, voir l’énoncé suivant : << Chaque division avait sa propre direction, son équipe de vente, ses services administratifs et son personnel de bureau >> . Donc, les cadres supérieurs et subordonnés sont séparés en différents départements pour améliorer la vitesse de rendement vis à vis les différentes taches existantes.

Il faut reconnaitre que l’organisation scientifique vient jouer un rôle clef dans la compréhension du temps dédié à chaque activités. À cette époque l’entreprise éprouve différents problèmes entrainant des coûts plus élevés que ses concurrents. Ce qui amène l’entreprise à analyser le temps consacré pour chaque tâche. << L’étude avait également fait ressortir la distribution des activités consacrées au déplacement, au classement à l’inspection et au traitement de chaque type de réclamation >> . C’est ainsi qu’est utilisé l’organisation scientifique afin de décortiquer une tâche complète pour en comprendre où se situent les pertes de temps.

En quoi l’entreprise Assurances Sécuriplus correspond ou ne correspond pas aux principes administratifs tels que définis par Henri Fayol?

En premier lieu, l’entreprise Assurance Securiplus ne semble pas valoriser la stabilité ou même l’union du personnel. Henri Fayol exprime à travers ces principes administratifs que la stabilité du personnel est un point crucial au rendement de l’entreprise. M. Blanchette ne semble pas comprendre que l’expérience ne s’acquière qu’avec la stabilité, Par exemple il cite: << Par-dessus le marché, la Marie-Line en question a trois ans d’expérience et elle prétend toujours ne pas comprendre le système. Je lui ai dit de se mettre à l’ouvrage et de s’arranger pour comprendre faute de quoi elle devra se chercher du travail ailleurs. >> . M. Blanchette ne prend pas en considération le fait que le système avec lequel Marie-Line éprouve des difficultés a seulement été mis en place l’année dernière. Donc, avec du temps, Marie-Line devrait éventuellement acquérir l’expérience dont elle a besoin pour remplir ces tâches avec efficacité.

Il est indéniable que M. Blanchette critique énormément ses employés, par contre, il ne semble prendre aucune part de responsabilité dans le mal fonctionnement de ses subordonnés. Comme mentionné dans le livre Management à l’ère de la société du savoir: << La sanction découle de la responsabilité et doit exister à tous les niveaux de l’échelle hiérarchique >> . À travers le cas de l’entreprise Assurances Sécuriplus nous pouvons remarquer que M. Blanchette n’a jamais été sanctionné malgré le fait que le département des réclamations médicaments, dont il est en charge, ne respecte

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