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Analyse du poème Clair De Lune Victor Hugo

Mémoire : Analyse du poème Clair De Lune Victor Hugo. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  18 Mars 2013  •  694 Mots (3 Pages)  •  2 878 Vues

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Analyse De Clair De Lune Victor Hugo

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Catégorie: Sciences et Technologies

Soumis par: Roi 19 avril 2012

Mots: 1419 | Pages: 6

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, les eaux de Cos (île grecque), mer, vague bercée, les cormorans qui plongent. L’autre champ lexical est celui a propos de l’Orient. : sérail, un djinn, la sultane.

c) Le vocabulaire n'est pas très compliqué. Ce qui est recherché c'est la structure de phrase ou la composition de plusieurs mots. Sauf qu’il y a deux mots compliqués qui sont assez recherchés : sérail=harem (quartier musulman interdit aux hommes). L’autre mot, c’est « un djinn » = esprit de l’air (chez les arabes). C’est donc un vocabulaire exotique.

d) Victor Hugo parle d’une sultane qui est à sa fenêtre et qui est attirée par un bruit venant de la mer.

e) Oui, Victor Hugo en fait énormément,

Un lourd vaisseau turc qui vient des eaux de Cos.

La sultane regarde, et la mer qui se brise

d'un flot d'argent brode les noirs îlots

De ses doigts en vibrant s'échappe la guitare

Battant l'archipel grec de sa rame tartare ?

Sont-ce des cormorans qui plongent tour à tour

Et coupent l'eau, qui roule en perles sur leur aile ?

Est-ce un djinn qui là-haut siffle d'une voix grêle

Et jette dans la mer les créneaux de la tour ?

Ni les pierres du mur, ni le bruit cadencé

Ni le noir cormoran, sur la vague bercé

Du lourd vaisseau, rampant sur l'onde avec des rames

Ce sont des sacs pesants, d'où partent des sanglots.

On verrait, en sondant la mer qui les promène,

Une forme humaine

La lune était sereine et jouait sur les flots.

f) Il y a des sentiments de colère. Je pense qu’il y a aussi un peu de tristesse. Il pose énormément de questions.

g) Oui, il y a l’ouïe. Quand la sultane écoute la mer et la brise du vent. Cela permet bien d’imaginer la scène, et il y a aussi le bruit sourd qui frappe. Il y a le touché aussi. « Les doigt vibrant la guitare ». Dans la dernière strophe il utilise « on verrais… » ce qui veut dire

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