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Oeuvre d'art

Étude de cas : Oeuvre d'art. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  15 Mars 2016  •  Étude de cas  •  1 148 Mots (5 Pages)  •  673 Vues

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 Jan Van Eyck, Les époux Arnolfini, 1434 et Diego Velasquez, Les Ménines, 1656. Ces deux oeuvres traitent de deux scènes différentes toutes deux opposées dans leurs contextes historique propre mais qui au final ont beaucoup de points communs.

Les époux Arnolfini réalisé par le célèbre peintre Jan Van Eyck, représente un couple de riches italiens établis à Bruges, célébrant leurs mariages dans une chambre. Les Ménines réalisé par Diego Velasquez représente l’infante Marguerite Thérèse est ses demoiselles d’honneur. On peut y voir Velasquez qui est occupé à peindre le portrait d’un roi et d’une reine.

Un miroir est présent dans ces deux oeuvres, et attire l’attention du spectateur dès le premier coup d’oeil.

Ceci nous invite à interroger sur l’intérêt du miroir dans ces deux scènes. Pourquoi ces miroirs font que ces oeuvres différentes permettent de montrer leurs points communs? Mais aussi pourquoi tout ceci pour qu’au final le sujet, le but principal de ces deux scènes se trouvent dans le miroir?

Pour commencer, nous analyserons les deux scènes. Par la suite nous découvrirons se que représentent ces miroirs pour ces deux artistes et pour nous-même. Et pour finir, nous examinerons leurs points communs et leurs différences.

 On pense que le tableau de Jan Van Eyck représente Giovanni di Nicola Arnolfini et son épouse, un riche couple qui vivaient à Bruges, en Belgique.

Nous allons donc étudier sa composition. C’est une scène d’intérieur, l’espace est diviser en deux partie : à droite sa femme et à gauche son homme. Il se situe du côté de la fenêtre, c’est l’homme de l’extérieur donc l’homme des affaires. La femme est du côté du lit, donc une femme au foyer. Les mains réunies sont au centre du tableau, cela nous montre l’union de deux vies différentes.

Au premier plan on voit un chien en train de nous fixer comme s’il était en train de partager ce moment avec nous. Ce qui nous donne un effet réaliste du tableau.

Au deuxième plan on voit donc les époux Arnolfini dont l’expression majestueuse de l’homme et la pose guindée du couple ont quelque chose de cérémonial.

À l’arrière-plan, sur le mur du fond, on aperçoit un miroir qui donne l’impression d’espace en rendant visible dans son reflet, la pièce est l’entrée. Mais aussi deux autres personnes, dont l’un pourrait être l’artiste.

Les lignes de fuite visible avec la fenêtre, le meuble et le lit ne se dirigent pas vers un même point. Les lois de la perspective linéaires ne sont pas respecté par l’artiste.

On peut dire que Jan Van Eyck souhaitait représenter la réalité le plus exactement possible.

L’autre oeuvre montre un tableau en train de se faire. C’est-à-dire, ce que Velasquez peint est celui que nous observons. Pourtant c’est un couple royal qui se trouvent à notre place.

Nous allons donc étudier sa composition. C’est aussi une scène d’intérieur représentant une grande pièce du palais de l’Alcazar à Madrid, dans laquelle se trouvent plusieurs personnages, ainsi que le peintre lui-même.

Au premier plan sur la gauche on voit le dos d’un tableau, puis sur la droite un chien qui semble se réveiller sous les coups de pieds d’un enfant.

Au deuxième plan la princesse de face qui nous regarde avec la naine et la demoiselle d’honneur à droite de la princesse. Puis à gauche de la princesse se trouve la deuxième dame d’honneur et le peintre qui nous regarde aussi. Comme s’il était en train de nous peintre mais quand réalité, il peint le couple royal qu’on peut les apercevoir par le reflet du miroir situé au troisième plan.

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