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Le Street-art, Les Stickers, Les Pochoirs Et Les Trompes L'œil

Mémoire : Le Street-art, Les Stickers, Les Pochoirs Et Les Trompes L'œil. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  8 Novembre 2013  •  352 Mots (2 Pages)  •  1 050 Vues

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Le street-art, les stickers, les pochoirs et les trompes l’œil

Le street-art, pour commencer, est un mouvement parallèle au tag et graffiti. Il ne conserve que la notion de la rue, car les artistes sont souvent amenés à exposer leur œuvre dans la rue. Mais les but ne sont pas les même.

La personne qui fait du street-art sait qu’il prend le risque de voir son œuvre disparaitre si il l’a produit dans l’illégalité donc les artistes préfèrent produire légalement en demandant des autorisations aux mairies ou aux propriétaires selon les cas. Le street-art est un mode d’expression très proche de la photo. C’est la que l’on distingue 2 types d’artiste. Ceux qui s’expriment dans le but de surprendre un piéton, ou un passant. Et ceux qui s’expriment dans le but de prendre en photo son œuvre, et de le poster dans un blog, un site, ou même de mettre la photo dans un livre ou une exposition

Le street-art se différencie du graffiti car il ne possède pas cette notion de l’illicite que recherche un graffeur. Le street-art est un terme très vague, il enveloppe plusieurs formes d’expression comme les stickers, les pochoirs, les trompes l’œil, les installations, le céllograff, les mosaïques et tant d’autre.

Illégale ou pas ? Tel est la question. Selon les pays, la législation change. En France, la question est difficile. Toléré, mais interdit. Certaines formes sont illégales, comme les pochoirs et les stickers, qui sont très proche du graffiti. Le céllograff (forme du street-art qui consiste à entourer deux poteaux de papier cellophane afin de reproduire un mur qui servirait de support pour faire un –––graffiti) est en soit légal si elle ne dérange rien ni personne, car l’œuvre est éphémère et les artistes ne dégradent rien.

Dans paris, le street-art est quelque chose qui indispensable. Il constitue un des charmes de cette ville. En se promenant dans la capitale, on a surement du croiser ces visages de Coluche fait a la bombe, les panneaux stop avec le stickman, ou ce chat ou il est inscrit a côté « ni dieu, ni maitre, ni croquette »

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