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Marguerite Van Eyck, Jan Van Eyck

Commentaire d'oeuvre : Marguerite Van Eyck, Jan Van Eyck. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  24 Novembre 2012  •  Commentaire d'oeuvre  •  368 Mots (2 Pages)  •  4 601 Vues

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Groupe 1 : Marguerite Van EYCK : Peint par Jan Van Eyck, d’origine Flamande

Le portrait de Marguerite Van Eyck a été peint par Jan Van Eyck en 1439. Il est originaire de Maaseik aux Pays-Bas


Antonio Del Pollaiolo, a peint Portrait de jeune femme en 1465. Antonio est originaire de Florence, ville d'Italie.


Au XVème siècle en Italie les portraits étaient pratiquement dépourvus de détails.

De ce fait les Italiens commandaient leurs portraits aux artistes flamands. Ceux ci possédaient un sens du détail plus affiné permettant ainsi de rendre chaque portrait véritablement unique.


Aux Pays-Bas, vers 1430, les peintres flamands abandonnent le portrait de profil, pratiqué dans toute l’Europe depuis le XIVe siècle. Ils lui préfèrent une vue du portrait de trois quart permettant ainsi de mettre beaucoup plus de détails sur ces visages.

En comparant les deux tableaux, on remarque que le portrait de Marguerite Van Eyck est un portrait de vue de trois quart. Cependant les deux personnages possèdent une expression neutre.

On observe une absence de décor ainsi qu'une mise en valeur du visage avec un front chauve. Quant au portrait d’Antonio Del Pollaiolo, celui-ci est de profil. Le modèle est plus bourgeois avec un arrière-plan sobre et bleuté. Les cheveux du modèle sont attachés et masqués, le modèle a un regard fixe.

Le fait que le personnage ait un regard plongé dans le vide, neutre, constitue l’un des seuls points communs entre ces deux œuvres.

Groupe 2 : Peter Paul Rubens

Dans ce tableau, Rubens a réalisé un portrait équestre du duc de Lerma, ce style de portrait décuple l’image du pouvoir en donnant à voir l’intégralité du personnage ainsi que sa monture.

Sur ce tableau, nous pouvons remarquer que la posture du duc est assez majestueuse, il se tient droit sur son cheval qui lui même à une patte levée.

L’angle de vue en contre-plongée permet aussi de grandir le personnage et d’accroître l’image de son pouvoir.

A l’arrière plan, on observe une scène de combat, qui renforce l’idée d’une supériorité millitaire.

Les couleurs présentes sont plutôt sombres, cependant on observe comme une auréole de lumière autour du duc de Lerma, sûrement pour intensifier une fois de plus l’expression de sa grandeur et de sa supériorité.

Le tableau est d’une grandeur assez conséquente.

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