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Noix de cajou

Commentaire d'oeuvre : Noix de cajou. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  18 Mars 2020  •  Commentaire d'oeuvre  •  331 Mots (2 Pages)  •  426 Vues

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Ce document traite des es usines de noix du Mozambique qui font un retour en force.

Pendant huit heures par jour, les travailleurs d'une usine de noix de cajou au Mozambique ramassent les noix, où les conditions de vie sont difficiles avec les machines. Le salaire est modeste. Etant donné le peu de travail disponible, les travailleurs acceptent ces conditions. Les pays africains tentent de se développer et l’agriculture semble un bon début, tout en créant des emplois. En relançant son industrie, le Mozambique se prend en main. Mais son histoire montre que l’industrie n’est pas facilement imposable. Dans les années 1960, le Mozambique produisait la moitié des noix de cajou du monde. Puis l'industrie a été fortement pénalisé par une longue guerre civile. Dans les années 1990, le plus difficile a été lorsque la Banque mondiale a imposer la suppression des contrôles et de réduire les taxes sur l'exportation de noix brutes ce qui fais qu’ils avaient moins de demande.

Alors Les transformateurs nationaux ont fermé leurs portes. Ce cas est devenu une cause célèbre pour les militants antimondialisation. Depuis 2001, il a perçu une taxe à l'exportation pour les noix crues et pour les grains transformés. Il interdit les exportations pendant les premiers mois de la récolte. Or, de nombreuses noix sont introduites clandestinement. Ce commerce informel aide à blanchir de l'argent pour les cartels. Grace a la taxe il y a moins de concurrence des acheteurs étrangers. Sans la taxe à l'exportation, l'industrie nationale de transformation ne survivrait pas.

Ses concurrents en Inde et au Vietnam importent des noix de partout dans le monde. Bien sûr, la taxe à l'exportation nuit aux producteurs de noix en faisant baisser le prix de leur récolte. Les agriculteurs sont peu incités à remplacer les vieux arbres ou à utiliser des pulvérisations antifongiques, malgré les subventions. Il y a le dilemme classique pour l'agro-traitement : les gouvernements qui veulent protéger une industrie naissante finissent par nuire à un nombre beaucoup plus grand d'agriculteurs.

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