LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

Délocalisation du site Whirlpool

Analyse sectorielle : Délocalisation du site Whirlpool. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  4 Avril 2018  •  Analyse sectorielle  •  2 132 Mots (9 Pages)  •  494 Vues

Page 1 sur 9

Le fantôme de mes nuits

Chapitre 1

Le début de la fin

Bonjour, je suis Marie , je vais vous parler d’une personnes , cette personne on la connait toute, c’est le genre d’amie qui finit pas devenir …. Enfin un peut de patience, commençons par le commencement.

Je vis dans une très petite ville appelée Rainins , je ne pourrais vous situé cette ville , elle est très peut connue C’était un mercredi au mois de mai , ma meilleure amie, Melissa et moi avions rendez-vous dans une vielle usine abandonnée. Nous devions traverser ce long pont, « le pont du fou » , on l’appelle comme ça parce qu’il paraitrait que de nombreuses personnes se seraient données la mort en sautant de ce pont. Assez discuté de truc flippant, lorsque Melissa et moi avions passé ce fameux pont, ont du passer a travers un trou étroit situé dans le mur de cette usine abandonnée. Malgré des difficultés a traversé , nous avions réussis a entrer, une atmosphère pesante et inquiétante flottait dans l’air , cétait spéciale. Nous nous étions retruvée dans une cour ou des tags apparaissaient sur tout les murs et sur notre droite une porte. Des bruits de claquements émanaient de la pièce qui se trouvait derrière cette porte. On hésita longtemps a l’ouvrir , puis ont finirent par l’ouvrir ensemble. A notre plus grand soulagement , les bruit de claquement n’étaient rien d’autres que les bruits de squates des garcons. Pierre le frère ainé de Greg assit entrain de rouler un join avec Lucas, Greg , Rayan et K entrain de squataient, c’était notre petit groupe de pote. On passa une journée à la cool comme toujours , à ecouter de la musique , squater , rire , chanter et fumer. Tout le monde commenca a partir au fur et a mesure , puisque bien évidement nous n’avions pas le droit d’être dans cette usine , donc il ne fallait surtout pas que l’ont sortent tous en même temps. Il ne resta plus que Melissa et moi , nous fumions notre dernière clope , nous commencions a nous lever quand je remarqua que K avait oublier ses chaussures de squate ( tout bon squateur sait qu’il faut toujours amener une perd de chaussure pour squater), je les cacha donc en dessous d’une table, et nous sommes partis. Sur le chemin du retour , je ne pu m’empécher de me dire qu’il fallait absolument que je prévienne K qu’il avait oublier ses chassures , Melissa me donna donc son numéro. Rentrée chez moi j’envoya directement un message a K, a ma grande surprise il réponda aussi tôt, il m’avait remercier et la conversation s’en été finis la. Après ca plus rien. K et moi c’était compliqué , on a jamais vraiment été très amies , K était plutôt l’amie de Melissa et des garcons et puis nous étions deux opposés, il avait sa petite vie bien rangée , il était en couple de puis plus de 2 ans. A l’inverse, je menais une vise complètement désorganiser, jeréfléchissais trop , ou pas assez, enfin j’été mois même compliquée, passons sur ce sujet, j’aurais l’occasion de vous expliquer en détaille.  Le lendemain Melissa et moi on retourna a l’usine voir les garcons , donc même trajet et même personne. Une fois le trou passé , la première personne que j’ai vue , c’était K, il s’approcha de moi ,et je sentis cette atmosphère lourde , pesante me prendre au piège, il me remercia pour ses chaussures. Dans l’aprem-midi , tout était comme d’habitude , a une chose prêt , le comportement de K envers moi. K s’asseyait a coté de moi, me parler, et puis au final on avait bien rigoler , il m’avait un peux appris a squater , mais il ma surtout montrer une magnifique pièce au fond de l’usine. Il s’agit de la pièce des miroirs, certains d’entre eux étaient brisées , mais ça rajouter du caractère a la pièce. On discuta dans cette pièce bien 1h , avec des regards par ci par la, un petit jeu quoi , rien de bien méchant. Comme la veille sur le chemin du retour je pensa a parler a K , mais cette fois ci pas des chaussures , j’avais passer une si belle journée et j’avait un petit peux appris a le connaitre, il m’intrigué je voulais en savoir plus sur lui. Arrivée chez moi , je me posa sur mon lit et hesita a envoyer un message a K , je n’ai eu a peine le temps d’y penser , qu’il m’en envoya un, il me disait qu’il me trouver cool et qu’il avait passer une bonne aprem-midi, je lui es repondu que moi aussi j’avais bien aimer, encore une fois se n’étais pas une grande discussion.Je ne savais pas quoi lui dire , j’étais comme perdu au milieu d’un océan , seule. Je n’avais jamais ressenti ce sentiments si froid mais chaud a la fois , si bon mais mauvais, j’étais si bien et si mal a la fois. Je me posais tellement de questions que je n’arriva presque pas a dormir. Quand je finir pas m’endormir, je savais qu’il fallait que le lendemain je pose ces questions a K, c’était bien trop perturbant pour moi. Comme prévue le vendredi , on se retrouva tous comme prévue a l’usine, mais une personne manquée , c’était K , je m’abstena de demander a tout le monde ou il était passer. Mais 1h passa sans qu’il ne soit la , il n’avait jamais rater une aprem-midi avec nous tous. Lorsqu’il apparue , j’étais face a la porte , je vis son ombre et le regarda des pieds a la tête en m’arrétant sur ses yeux . Des frissons dans le corps , mes mains trembler , ma gorge se nouée , je respirait lentement , mais mon cœur lui s’emballait de plus belle lorsque K s’approcha de moi pour me dire bonjour, je suis rester dans cette état bien 10 minutes. Après cette scène , je m’assis et commenca a parler avec Melissa , on se rouler une clope , tout ce qu’il y avait de plus normal. Mais K nous interpela et demanda a me voir seule a seule pour régler une histoire  , j’ai commencer a paniquer , a me dire qu’il avait capter mon comportement a son arrivé. Il m’enmena pres d’un escalier en fer , on s’asseya tout les deux, il m’éxplique qu’il avait prétexer une histoire a régler , afin de ce retrouver seule avec moi. Et au lieux de discuter , nous nous sommes mirent a écouter de la musique , enfin c’est surtout lui qui me fesais découvrir des musiques que je ne connaissais pas. Fin de cette journée , je n’avais toujours pas de réponses au questions que je me posais , c’était engoissant et stréssant. J’allais me coucher lorsque j’éprouva l’envie d’écouter l’une des musique que K m’avait fait écouter. Les oreillettes en place , allongé dans mon lit , je savouera cette musique , puis la suivante et au final je m’endorma en écoutant la playlist des musiques de K. De plus en plus étrange pour moi que ce sentiment lorsque je me suis réveiller sur une des musiques que j’ai préferer de K. Il avait enté ma nuit, toute en la rendant si douce, si légère…presque réel. K était belle est bien encore la, dans ma tête, je ne savais ni pourquoi ni comment mais il était bien la . C’était comme si il pouvait avoir accès a tout mes pensée a tout ce que je ressentais , assez bizarre vous vous direz, moi-même je ne comprener pas. Ce week-end allait peut être changer la suite des évènements , comment et pourquoi sont les questions que vous vous posez , et bien soyer patient, la suite viendra plus tôt que vous penser. J’ai recu un message de K, de bon matin, c’était suspect, nous nétions pas « proche », je n’avais pas vraiment l’envie de l’ouvrir, ou peut être que j’avais tout simplement peur de ce qui pouvait être écrit. ¼ heure apres , j’en recu un deuxième, c’était le messagede trop il fallait que je regarde, j’était beaucoup trop curieuse de savoir ce qu’il me voulait. Etonnée, K me demander simplement si je comptais venir comme d’habitude cette aprem-midi dans l’usine. Jusqu’à ce jour, il ne m’avais jamais envoyé un message pour savoir si j’y aller, puisque c’était toujours le cas. Pourquoi c’est-il demander si j’allais y aller. Pourquoi a cet instant ai-je eu le sentiment que j’allais perdre le contrôle de quelque chose sans savoir, quoi. ( Cette question j’aurais du me la poser avant… bien avant …) J’avais pris un douche pour reprendre mes esprits, mais toute a empirer, mes pensées tourner et ce retourner dans ma tête. J’ai finis tant bien que mal de me préparer, mais je sentais quelque chose monter en moi sans pouvoir poser de mot sur ca. Et sur le trajet pour aller a l’usine, cette sensation ou plutôt se sentiments ne cessa de grandir en moi. Au moment d’arriver devant le trou qui servait d’entrée je compris, je savais ce que c’étais, de l’angoisse et une grande appréhension de la suite des évènements , pourtant c’était une journée comme les autres, mais la sa aller être différent. Je passa malgré tout le trou dans le mur, mais l’atmosphère trop calme et le manque de bruit me laissa planter debout. Je regarder tout autour de moi, je tendais l’oreille mais je n’ écouter absolument rien. Il y’avais donc personne, c’était assez inhabituel, j’avais une vingtaine de minutes d’avance que d’habitude rien de bien méchant. Je suis donc aller m’assoir pour me rouler une petite cigarette. J’ai commencer a l’allumer, puis j’eu une envie découter de la musique, mais étonnament, l’atmosphère calme me rendais moi-même calme, le choix de mes musiques étaient donc douce, calme et très poser. 10 minutes plus tard, quelqu’un arriver, mais allonger sur le bancs, les yeux fermés avec les écouteur dans les oreilles ont fait que je ne me suis rendu compte de absolument rien. On me retira délicatement une oreillette, surprise j’ai ouvert les yeux très rapidement . Il était la, c’était K, son visage au dessus du miens. Cette scène était spéciale des plus étonnant que nous somme rester la, a ce regarder les yeux dans les yeux pendant bien 30s sans dire un mot. J’ai finis pas me redrésser, j’étais géner mais je ne savais pas pourquoi, je n’avais absolument rien fais pour. Puis K me metta a l’aise, et nous commencions a parler en rigolant, et puis nous avons commencer a parler serieusement, de choses tristes ou qui nous fesait le plus de peine. Mais c’était toujours moi qui parler de ce genre de choses, K lui ne me donner que des conseils ou son avis , a aucuns moment il ne m’a raconter quelque chose de triste ou qu’il lui fesait de la peine. Il était très a l’écoute et de bon conseil, mais lorsque c’était a lui, le silence régner et je continuer donc de parler. 40 minutes  passa lorsque nous sommes rentré dans une conversation beaucoup trop senssible pour moi, plonger dans les paroles de l’uns et de l’autres nous ne nous sommes pas rendu compte que nous étions seule depuis presque 1h. Bref le sujet senssible, qui me rendais si fragile, tel un petit oiseau tomber du nid. La mort, la mort de mes proches, je le dis si brutalement car, le mot « décès » pour moi est comme une bléssure sur laquelle on souffle en éssayant de faire croire que ce n’est pas si douloureux, et que avec le tempsla douleur passera. La mort, un mot fort qui désigne la vrai sensation qu’on ressentira tout le long de notre vie jusqu’à notre propre mort. Lorsque l’on commenca à peine de parler de ca, j’eu les larmes monter toutes seules, c’était plus fort que moi, je ne peux pas faire semblant ou alors pas longtemps. Je me cacher , fesais croire que j’étais enrhumer, mais il savait ce qu’il se passer, il savait qu’il avait fait  resurgir des blessures que j’aurais préférer garder. Heureusement cette conversation ce stopa net, puis qu’il eu l’arrivé des garcons et Melissa. Une chance pour moi , mais aussi une chance pour K et moi, car un du groupe aurait pu faire une réfléxion sur le fais de nous avoir trouver que tout les deux. Mais le regard de Mélissa en disait long, elle savait que quelque chose se passer ou aller se passer ( j’aurais aimer lui dire que ce n’étais pas l’un ou l’autre, c’était malheureusement les deux) et que j’étais impuissante face a tout cela.

...

Télécharger au format  txt (11.9 Kb)   pdf (57.8 Kb)   docx (14.2 Kb)  
Voir 8 pages de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com