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Oyagé

Dissertation : Oyagé. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  30 Janvier 2016  •  Dissertation  •  923 Mots (4 Pages)  •  676 Vues

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L’homme a toujours voyagé, mais chaque homme a sa propre conception du voyage et se déplace dans un but précis qui lui est propre. En effet, Lévi-Strauss affirme dans l’incipit de « Triste Tropique » que « le voyage n’est pas un but, c’est un moyen […] ce qui compte ce n’est pas du tout le coté touristique mais ce que nous rapportons de connaissances et d’information ». De là, nous pouvons nous interroger sur le sens que prend le voyage qu’il soit vécu ou lu. Nous allons donc dans un premier temps nous demander comment le voyage est lié au divertissement ? Pour ensuite nous demander comment ce dernier nous offre une ouverture sur le monde, en nous apportant des connaissances ? Pour enfin exposer une nouvelle façon de voyager en lisant des romans de voyage.

D’abord, il y a d’une part le voyage dans le but de se distraire, ou l’on cherche à se reposer, a oublié les problèmes s’enfuir pour quelques instants de la routine et du quotidien. C’est devenu le but proéminant de nos jours. En effet, la majorité des voyageurs contemporains sont ce que l’ont peut qualifié, comme l’a fait Lévi-Strauss, de « touriste ». Terme a tendance péjoratif, ce sont le plus souvent les amateur de voyage organisé, qui vont voir ce qu’on leur dit de voir. Ce touriste ne va pas à la rencontre de personnes, mais s’occupe par des festivités, ils assistent par exemple aux festivals ou visite les sites connu de leur destination, et se contente d’écouter ou pas ce que le guide touristique leurs apporte d’information dans le simple but de se distraire. Boorstin qualifie le touriste de « passif » dans son essaie philosophique, il affirme que « le touriste attend que se produisent les choses intéressantes. » alors que le voyageur lui est « Actif » il « partait avec énergie à la recherche des gens, d'aventures, d'expériences le voyageur travaillait à quelque chose ; le touriste est en quête de plaisir ». Nous pouvons donc reprocher au touriste de se préoccuper de son propre plaisir, ne rapporter que des connaissances « cliché » ou aucune, il ne va pas a la rencontre de personnes a fin de s’enrichir il rentre de son voyage parfaitement comme il s’en est allé.

Ensuite, le terme « voyageur » est souvent attribué aux aventuriers qui racontent ou non leurs voyage sous forme de récit, comme Christophe colombe, Vasco de Gama, Pierre Loti, Chateaubriand Alexandre Dumas, Gérard de Nerval … qui sont des « écrivains voyageurs » ou encore des ethnologues ou anthropologues qui étudient l’histoire comme Lewis-Strauss. En effet, La meilleur façon d’élargir ses connaissances et sa culture est de s’ouvrir sur le monde, effectuer des échanges de culture avec autrui et le voyage est bel est bien le meilleur moyen de le faire, sans voyager on ne peut pas rencontrer de nouvelles personnes dont les traditions et la manière de pensé est différente de la nôtre et donc aucun échange n’est effectué. Le but réelle est d’en revenir différent a chaque fois, pas totalement au point d’en perdre sa personne mais, apporter sa culture a l’autre et s’enrichir de la culture de l’autre a fin d’effectuer le parfait échange et se constitué un point de vu et qui s’approche le plus au réel s’éloignant des cliché et préjugées. Jacques Lacarrière en parle clairement dans son texte, les crétois

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