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Les divers facteurs inégalement partagé au seins de la population et de variable contextuelle ont-ils un impact sur la participation électorale ?

Synthèse : Les divers facteurs inégalement partagé au seins de la population et de variable contextuelle ont-ils un impact sur la participation électorale ?. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  29 Avril 2021  •  Synthèse  •  882 Mots (4 Pages)  •  760 Vues

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« Le vote », un des mots les plus importants dans les démocraties. En effet le terme de démocratie signifie « le pouvoir au peuple », et s’exprime grâce à la participation électorale . Celle-ci se définie comme une pratique qui consiste à exercer son droit de vote lors d’une élection. Cependant, bien que la participation électorale soit primordiale pour la sauvegarde des démographies, qui est précieuse aux populations , celle-ci peut connaitre une baisse ou une augmentation de votants. Les divers facteurs inégalement partagé au seins de la population et de variable contextuelle ont-ils un impact sur la participation électorale ? Il sera dans un premier temps de montrer que divers facteurs inégalement partagé au seins de la population ont un impact sur la participation électoral. Puis que cette participation est aussi liée à des variables contextuelles.

La participation électorale est liée à des facteurs inégalement partagés, notamment, le degré d’intégration sociale. L’intégration sociale est le processus par lequel un ensemble d’individus ou de groupes sociaux tend à constituer ou à devenir partie d’une entité sociale. L’intégration sociale renforce la probabilité de participer aux différents scrutins. A l’inverse, une situation d’exclusion sociale favorise la mise en retrait du monde politique. Certains facteurs inégalement partagés entre des individus ou des groupe sociaux peuvent faciliter l’intégration sociale. D'où̀ la notion de variables lourdes du comportement électoral. Il s’agit de variables traduisant des apparences collectives susceptibles d’influencer significativement le comportements électorales. Effectivement, Selon la religion, le niveau de diplôme ou la profession, la probabilité́ est plus on moins forte de voter à droite ou à̀ gauche, de voter ou de s'abstenir. Les valeurs transmises au sein de la famille ne sont pas les mêmes dans une famille de commerçants catholiques que dans une famille ouvrière sans religion.

La politisation ou sentiment d’appartenance politique, définie comme une attention accordée au fonctionnement du champ politique, dépend fondamentalement du degré auquel les agents sociaux ont le sentiment de se retrouver dans le déroulement des événements politiques, donc de leur trouver un sens. » Tel est le constat dressé par Daniel Gaxie dans son ouvrage « le cens caché » paru en 1978. Cependant le sentiment d’appartenance politique peut se fragiliser sous cause de facteurs inégalement partagés entre la sphère politique et les citoyens. En effet, la population est face à des élites qui les gouvernent. Par leur éducation supérieure, qui se caractérise par un langage spécialisé ou leur capitales culturelles et monétaires élevé les citoyens tendre à s’auto exclure de la sphère politique. Ils n’auront pas le sentiment d’appartenance politique.

La participation électorale est aussi conditionnée par des variables contextuelles Le comportement politique (participation/abstention) varie en fonction de la perception des enjeux par les individu. C’est ce que l’on appelle le Vote sur enjeux. Celui-ci est un choix électoral déterminé par les prises de position qu'ont les électeurs sur des enjeux détermines. Les électeurs votent en fonction de leurs opinions sur certains enjeux ou de l'interprétation des performances

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