Kant Et le déterminisme

                                   Devoir maison de philosophie n°1: p.164 : Kant

Le texte de Kant philosophe du 18eme siècle, expose l'idée que l'homme doit s'affranchir de ses tentations pour accepter les lois morales et y obéir par soi-même par l'exemple de prise de décision morale ou non face au danger immédiat. Les lois morales étant l'ensemble des règles de conduite d'une société.

Kant introduit son apologue par un exemple: la dépendance aux désirs ce qui signifie que l'on devient objet: une chose manipulable de son libre-arbitre,on le subit ce qui différent de choisir.

On est victime de déterminisme :  «tout à fait impossible d'y résister » (l.2).

Puis une question hypothétique ce pose : en admettant qu'il commet ses penchants et qu'une menace de mort lui serait faite et qu'il lui est effectivement insurmontable de lutter contre alors il avait raison.

Autrement,c'est qu'il n'est pas totalement dépendant de ses désirs s'il s’aperçoit du danger et décide de se contenir face à eux.

Ainsi,cette question hypothétique: « si,devant sa maison [ …] une potence était dressée […], ne triompherait-il pas alors de son penchant ? » (l.3 à 6) montre dans l'un des cas qu'on se prive de sa liberté à contrario dans l'autre cas, on combat ses penchants pour récupérer sa liberté.

Kant réintroduit une hypothèse,un dilemme entre tuer pour rester en vie ou mourir pour laisser vivre autrui; faire preuve d'altruisme dans le sens des valeurs morales ou d’égoïsme dans le sens des valeurs instinctifs.

Ici, une autorité royale,souveraine qui demande de condamner un sujet innocent (personne digne de droit et de respect) en vous menaçant de mort immédiate.

Donc, on ce demandera si la personne est suffisamment attaché à la vie pour condamné un innocent ou décidera de mourir parce que sa vie n'est pas plus importante qu'une autre , pour la vérité , pour la culpabilité: «  vaincre son amour pour la vie, si grand qu'il puisse être. »(l.11).

Nous ne pouvons connaître sa décision: « qu'il le ferait ou qu'il ne le ferait pas »(l.12) et ce qui compte n'est pas la réponse de la personne mais la réflexion faite de par ce dilemme.

Il faut faire preuve de responsabilités et accepter des lois justes comme l'indique les philosophes Stoïciens et Descartes: il faut que la volonté contrôle toujours les désirs.

Kant conclut par une « morale »:  « Il juge »(l.13) : capacité de jugement entre le bien et le mal ; 

« Il peut faire une chose parce qu'il a conscience qu'il doit le faire » (l.13 à 14) sentiment de devoir, de justice ; « Et reconnaît ainsi en lui la liberté qui,sans la loi morale » (l.15):grâce aux lois morales, il peut retrouver sa liberté en obéissant à sa volonté (raison: obligations bonnes pour nous) de ne pas nuire à autrui et de lutter avec sa raison contre son libre-arbitre,en étant ainsi autonome.

En conclusion , Kant dit que « La liberté c'est l'autonomie de la volonté » on ce doit d’obéir à des lois bonnes pour nous et pour autrui et de lutter contre « nos penchants » pour réellement être libre.

Il faut apprendre à être libre et à se responsabiliser dans le long-terme.

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