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Biochimie

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Par   •  19 Avril 2019  •  Mémoire  •  1 906 Mots (8 Pages)  •  618 Vues

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Comment le cerveau détermine-t-il la perception visuelle ?

C- Le traitement de l’information par le cerveau

Activité 10 : Aires cérébrales et perception visuelle. Documents p308-311

Il existe des aires des aires spécialisé du cerveau car lorsque l’œil est stimulé par une image ou par un son ce ne sont pas les mêmes régions du cerveau qui s’activent. Elles seraient donc spécifiques à un type de message.

Les aires visuelles impliquée dans le traitement des informations des informations visuelles son dans le lobe occipital (image) et celle qui reçoit les informations en provenance de la rétine est appelle cortex visuel primaire ou aire V1. Cette dernière est connectée à d’autre régions du cortex ou aires visuelles qui sont aussi connecté entre elles.

Les informations arrivant dans l’hémisphère cérébral droit proviennent du champ visuel temporal gauche donc du cham rétinien nasal gauche et du champ visuel nasal droit donc du champ rétinien temporal droit.

Chaque caractéristique d’une image (couleur, forme, mouvement) est analysée par une région différente du cerveau : les aires de la partie inférieur du cortex visuel sont responsables des qualités de l’objet observé (couleur et forme), c’est la voie du « quoi » qui peut impliquer la mémoire.

Les aires de la partie supérieure du cortex visuel perçoivent la localisation spatiale de l’objet ou son mouvement : c’est la voie du « où »

Conclusion : Les messages nerveux visuel emprunte des voix nerveuses jusqu’au cortex visuel

L’imagerie fonctionnelle du cerveau permet d’identifier et d’observer des aires spécialisées dans la reconnaissance des couleurs, ou des formes, ou du mouvement.

Bilan : Plusieurs aires corticales participent à la vision. L’imagerie fonctionnelle du cerveau permet d’observer leur activation lorsque l’on observe des formes, des mouvements. La reconnaissance des formes nécessite une collaboration entre les fonctions visuelle et la mémoire

III) Aire cérébrales et plasticité du cerveau

Comment le cerveau intervient-il dans le processus de la lecture ? En quoi la plasticité cérébrale a-t-elle un rôle dans l’apprentissage de la lecture ?

Activité 11 : Aire cérébrale et plasticité Documents p.314-317

Les aires visuelles sont localisées dans le lob occipital et ont pour rôle d’analyser les informations provenant de la rétine par le nerf optique. Les aires du lobe occipital sont très actives mais on observe une légère activité également au niveau des lobes frontal et temporel.

Les patients frappés d’alexies ont des lésions au niveau du lobe temporal dans toutes les autres zones associées à la fonctions visuelles sont intactes.

Lors d’une activité de lecture, différente aire visuelle sont activées : cortex visuel, région spécialisée dans la mémoire, cortex moteur, aires d’associations.

Il existe une collaboration entre les aires cérébrales car l’activité de lecture met en jeu différentes fonctions comme la reconnaissance des mots, l’attribution d’un sens à une suite de mot en associant parfois avec le langage. Ces fonctions sont traitées par différentes zones du cerveau qui doivent êtres étroites relation afin de permettre la réalisation de la lecture. L’aire cérébrale principale impliqué dans la lecture chez l’Homme est la partie médiane gauche du cortex occipital. Cette spécialisation vis n’existe pas chez le très jeune enfant.

En effet, cette spécialisation ne va se développer qu’à partir du moment où il apprend à lire (6ans). Le cerveau va donc modifier on réseau de neurones afin de réaliser cette spécialisation. On peut alors parler de plasticité cérébrale.

Conclusion : La reconnaissance d’un mot cécité une collaboration entre aires visuelles, mémoires et structures liée au langage.

Bilan : La mise en place du phénotype fonctionnel du système cérébral implique » dans la vision repose sur des structures cérébrales innées, issues de l’évolution et sur la plasticité cérébrale au cours de l’histoire personnelle. De même la mémoire nécessaire par exemple à la reconnaissance de l’histoire personnelle. De même la mémoire nécessaire par exemple à la reconnaissance d’un visage ou d’un mot repose sur la plasticité du cerveau.

L’apprentissage repose sur la plasticité cérébrale. Il nécessite la sollicitation répétée des mêmes circuits neuroniques.

IV) La chimie de la perception

Comment le message nerveux est-il transmis d’un neurone à l’autre ?

A- La transmission synaptique

Activité12 : De neurone en neurone

Le message nerveux transmis par les prolongements des cellules nerveuses (axones et dendrites)

Est de nature électrique.

La différence principale entre les compartiments pré et postsynaptique est que le premier possède des vésicules et pas le 2ème.

Le message électrique ne peut pas passer en tant que tel d’une cellule à l’autre au niveau d’une synapse.

Il doit prendre une autre forme.

Le message nerveux est transmis du neurone présynaptique vers le neurone postsynaptique. Il est transmis dans la fente synaptique sous la forme de neurotransmetteurs qui sont des molécules chimiques capable de se fixer sur des récepteurs spécifiques situés sur la membrane du neurone postsynaptique

Les 4 grandes étapes de la transmission du message nerveux d’un neurone à l’autre sont :

1 : Arrivée du message nerveux de nature électrique le long de l’axone du neurone présynaptique et migration des vésicules présynaptiques vers la membrane du neurone présynaptique.

2 : Fusion des vésicules présynaptique avec la membrane du neurone présynaptique et libération des neurotransmetteurs dans la fente synaptique : c’est le phénomène d’exocytose

3 : Fixation des NEUROTRANSMETTEURS SUR leurs récepteurs spécifiques situé sur la membrane du neurone postsynaptique et naissance d’un nouveau message

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