Quelles représentations de la Polynésie et des Polynésiens nous donne le film ? (si Tahiti m’était conté)

    La Polynésie est une île ouverte à la mondialisation qui accueille des paquebots pour quelques semaines. Quand ces bateaux arrivent près de la passe de Papeete, les tahitiens les accueillent en pirogues sur lesquelles ils emportent avec eux des instruments de musique afin de leur chanter des chants tahitiens en mer.

En attendant, les femmes préparent des colliers de fleurs pour leur en offrir à leur arrivée sur terre. Quand le moment est venu, le bateau arrive au port où la vue est directe sur Papeete, on y peu voir la cathédrale,  et la grosse foule vienne les accueillir accompagnée de danses et chants polynésiens, des colliers de fleurs confectionnés quelques heures avant et bien sur la joie des habitants. Cette accueille est chaleureuse et unique au monde qui marque les esprits selon ces nouveaux arrivants, les européens.

Parmi ces habitants de Tahiti, se trouvent des métisses. En effet, il y a des étrangers qui décident de rester à Tahiti. Ces étrangers peuvent être des européens qui travaillent parfois dans la police ou des chinois, qui la plupart, entretiennent des magasins.

La Polynésie importe notamment des marchandises venant de l’extérieur comme celles venant des Amériques, qui sont la plupart des voitures, mais les tahitiens se déplacent généralement en vélo, les transports en communs qu’ils appellent ça les « trucks » ont la même fonctionnalité que les bus, ou parfois à cheval sans équipements (sans selle) pour les habitants se trouvant dans la compagne (Taravao). Tahiti est rempli de verdure mais existe tout de même une route pour les transports, mais cela reste très restreint, surtout à la compagne ou la route est à une voie sans marquages.

Malgré les importations, leurs tenues est locale durant toute la journée (avec des motifs polynésiens et/ou avec les fleurs, paréo). Les uniformes de travaille, comme pour la police, sont souvent des shorts courts jusqu’aux genoux et chemise assez courte avec les petites manches portant des sandales et parfois ils n’ont pas de t-shirt (exemples : les ouvriers) pour les hommes.

Les polynésiens aiment aller à la plage, surtout au sable noir ; la pêche est l’une de leur passion, ils utilisent les matériaux naturels tels que les lignes ou l’arpon mais attention où mettent leurs pieds, les piqures d’oursin sont douloureuses et les tahitiens ne connait qu’un remède naturel. Après cette activité qui leur semble indispensable, ils aiment se doucher à l’eau douce à la rivière, pour les femmes c’est une facilité pour laver leurs longs cheveux ondulés, et pour les hommes, ils peuvent se nettoyer là où ils peuvent trouver un tuyau, bien sur tout en gardant un minimum de vêtement.

Suite à cela, les habitants organisent un repas partagé, les hommes mettent en place une charpente utilisant les feuilles de cocotier ou palmier que les femmes tresses. Le repas est constitué de poissons pêchés par les hommes, enveloppés par les feuilles végétales, de fruits comme le « uru » épluché grâce à un coquillage, le taro puis les cocos, comme viande un porcelet et comme desserts les « po’e » enveloppés dans les feuilles de bananier... Ils déposent tout ça dans un four qu’on appelle ça, le four tahitien situé dans la terre en dressant par-dessus multiples feuilles végétales. Enfin le repas est prêt, ils partagent le plaisir de manger autour de la table qui se trouve par terre.

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