Thèse, étude de documents

Thèse

Dans nos sociétés actuelles nouvelles et modernes nous sommes soumis de plus en plus au regard des autres qui conditionne nos comportements dans la société, nous vivons dans un monde où nous sommes de plus en plus juger sur nos performances. De par l’étude des diffèrent œuvres suivantes, nous avons le film de Tod Browning « FREAKS », Le « journal d’un monstre » de Richard Matheson, et une peinture sur Gulliver.

Nous allons essayer de comprendre comment ses artiste grâce à leurs œuvres ils reflétant l’image du regarde porter sur l’Anormalité. En comparant les œuvres, on peut constater deux visions évolutives, nous nous apercevons que d’un regarde ordinaire, celui-ci peut changer au fur et à mesure des différentes situations ou des mises en scènes.

Dans un premier temps attardons nous sur le regarde habituel , qui correspond , essentiellement , à un regarde de rejet ou de mépris, comme le dénoncent Tod Browning et Richard Matheson dans leur œuvre, pour Browning dans son film on peut parler du cadrage de la scène à l’extérieur du cirque qui met en avantage les homme « normal » alors que les « Freaks » paraisse petit et impuissant , et dans le texte de Matheson nous pouvant parler des réplique des parent envers l’enfant qui lui parle comme une petite bête.

Ensuite on voit l’évolution du comportement par rapport au regarde, qui nous entraine dans de situation d’isolement, d’enfermement ou même d’exclusion, ceci est bien relaté chez Browning ou les « Freaks » ne peuvent évoluer, vivre que dans l’enceinte du cirque. Alors que pour Matheson c’est le décor décrit qui nous donne un sentiment d’enfermement pour l’enfant.

Suite a ses différent regarde, l’important est de souligner les conséquences de ses regarde qui peuvent amener en réponse à ceux-ci des comportements de violence verbale et morale, et le vois très bien avec le changement dans la scène « le repas de noces », et on peut voir chez Matheson, la répétition de l’expression « ils m’ont battue », ou même sur la peinture de Gulliver ou on peut le voir attacher comme une bête.

Pour continuer sur notre analyse du sujet on va se concentré sur les changements de ces regardes, et pour commencer on va montrer que ces artiste on donner un peu d’humanité comment on peut le voir pour Browning c’est le cadrage qui permet de mettre en avantage ces gens qui sont malformé dès leur naissance ou qui ont subi un accident, chez Matheson on il donne la parole au « monstre » , et pour l’affiche on peut voir si on regarde de près que le visage de Gulliver montre de la peine ou de la souffrance ce qui est pas un sentiment de « monstre »

Pour finir

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