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Sujet Invention Bac Français 1ère

Commentaires Composés : Sujet Invention Bac Français 1ère. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  11 Mai 2014  •  493 Mots (2 Pages)  •  817 Vues

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Consigne : Vous devrez faire l'éloge d'une personnes banale, mais qui parait merveilleuse a vos yeux.

17 janvier 2008; Paris ; Dans la matinée...

Au détour d’une ruelle Parisienne, j’ai croisé son regard. Il est venu m’aborder; puis m’a invité à déjeuner. J’ai accepté; à partir de ce jour, mon Nicolas et moi ne nous sommes plus jamais quittés pendant des années...

Seuls ou accompagnés; c’est la nuit qu’on vivait pleinement notre amour, entre restaurants et discothèques nous étions toujours dehors à suivre le rythme de la bohème Parisienne.

Ensemble on s’amusait, on riait, on jouait, on rêvait; n’importe ou, n’importe quand et dans n’importe quelle situation; ça nous prenez comme ça...

J’aimais tout chez lui; son visage, sa bouche pulpeuse, son dos, son parfum, son odeur après la douche, l’odeur de son cou... J’avais même appris a apprécier son chat.

Assise sur son canapé ou allongée sur son lit; je le regardais, l’observais, le scrutais et contemplais chacun de ses faits et gestes.

Parfois, ça lui prenait comme ça. Il me récitait du Baudelaire, du Rimbaud ou du Verlaine; son poème favoris était sans aucuns doutes «Le Lac» de Lamartine; j’y avais le droit une a deux fois par jour à celui la.

La nuit, il dormait peu, il passait son temps a écrire : pièces de théâtres, scénarios, bouquins, ou chroniques en fumant cigarette sur cigarette. J’admirai ce qu’il écrivait.

Les bons vins, la vodka, le whisky étaient sa deuxième passion; il me répétait souvent qu’il considéré l’alcool comme un lubrifiant aux rapports humains; tout était alors plus facile avec un verre dans le sang.

Dès qu’il avait un moment il se mettait au piano et jouait pendant des heures.

Nous allions au cinéma, au théâtre, au musée et parfois a des concerts.

Je connaissais chacune de ses habitudes; l’endroit ou il posait ses clefs, l’heure de son réveil le matin; le jour de la semaine ou il faisait ses courses ainsi que le moment de la journée ou il allait chercher son courrier.

Nos après-midi d’été où nous ne travaillons pas; nous les passions au Café de Flore; verre de vin blanc et bouquins en mains; on relisait les Flaubert, Maupassant et Zola qui nous avaient tant agacé étant plus jeunes et nous les avions davantage apprécié étant adulte.

Assiégez à la fenêtre de son appartement; nous nous regardions pendant de longs moments, ses yeux clairs plongés dans les miens, alors que nous fumions des cigarettes.

Lorsque le temps nous paraissait trop long, nous allions faire des tours de Vespa dans Paris; on voyageait de quartier en quartier. On était heureux.

Il me parlait pendant des heures; me racontait son enfance, sa vie, son boulot. Il me confié ses secrets. A ses cotés, j’aimais m’effacer, il était mon seul intérêt, j’aimais l’écouter.

Ses caresses me faisaient frissonner, son regard me touchait, ses baisers m’envoutaient. J’avais retrouvé le gout de la vie; je connaissais l’amour, le véritable, je n’avais dieu que pour lui. J’aimai qu’il me prenne dans ses bras, corps contre corps, coeur contre coeur.

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