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Mes amis, mes amours, Levy

Fiche de lecture : Mes amis, mes amours, Levy. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  2 Mai 2018  •  Fiche de lecture  •  1 064 Mots (5 Pages)  •  791 Vues

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LE TEMPS

Temps externe

  1. L’histoire est contemporaine.  Voici plusieurs extraits du texte qui nous le prouvent.

« La lumière vive des néons succédèrent au ton grisâtre du ciel de Paris. » p.16

« Sentant un peu de jalousie dans la voix de Mathias, elle ajouta que Chet Baker était mort en tombant du deuxième étage de sa chambre d’hôtel à Amsterdam, en 1988, à l’âge de cinquante-neuf ans. » p.94

« Ils échangèrent leurs numéros de téléphone. » p.95

« Les essuie-glaces de l’Austin Healy chassaient la pluie fine. » p.131

« Et même si Mathias sortait souvent le soir, pour prendre l’air dans le jardin, son téléphone portable colle à l’oreille. » p.140

« Les rivages de Calais s’éloignaient, L’Eurostar filait à trois cinquante kilomètres à l’heure sur les rails français. » p. 182

  1. L’histoire se déroule en partie à Londres plus précisément dans le quartier français de Londres et durant différentes saisons. On parle souvent de Bute Street.

« Les persiennes des fenêtres qui donnaient sur Bute Street filtraient la lumière d’une belle journée d’automne vers les parquets en bois blond du cabinet d’architecture. » p.13

« Le printemps était au rendez-vous. Et si, en ces premiers jours d’avril, le soleil se cachait encore derrière les nuages, la température ne laissait aucun doute sur l’avènement de la saison. » p.23

« Le soleil perçait enfin les nuages et ses rayons irradiaient la Tamise. » P.24

« -Si tu n’es pas tendue, en tout cas tu es contrariée. C’est parce que je viens de m’installer à Londres ? reprit Mathias. » p.31

« Un client attendait, impatient, devant la librairie de Mathias remontait Bute   Street à pied. » p.101

« Sous la lumière pâle d’un réverbère de Bute Street, chacun écoutait le silence de l’autre. » p.40

« Je vais au Lycée français, juste au bout de la rue, je préfère l’emporter. » p.59

Temps interne / la durée

  1. L’histoire se déroule sur plusieurs mois.  Deux saisons sont citées : l’automne et le printemps.

« Les persiennes des fenêtres qui donnaient sur Bute Street filtraient la lumière d’une belle journée d’automne vers les parquets en bois blond du cabinet d’architecture. » p.13

« Le printemps était au rendez-vous. Et si, en ces premiers jours d’avril, le soleil se cachait encore derrière les nuages, la température ne laissait aucun doute sur l’avènement de la saison. » p.23

« Londres, quelques mois plus tard. » P.23

« La semaine de Mathias et d’Antoine passa à toute vitesse. » P.140

Temps interne /l’ordre

  1. Il y a donc également quelques analepses et prolepses comme :

        « - Tu te souviens de Caroline Leblond ?

  • Seconde A, toujours assise au fond de la classe. Ton premier baiser. Ça fait quelques années …
  • Elle était rudement belle, Caroline Leblond. » P.9

« Mathias reposa le cadre sur le comptoir de sa cuisine. Il en effleura le verre du bout des doigts, comme pour caresser les cheveux de sa fille. Sur la photo, Emily tenait sa mère d’une main, et de l’autre lui faisait un signe d’au revoir. C’était au jardin du Luxembourg, trois ans plus tôt. La veille du jour où Valentine, sa femme, le quittait pour partir s’installer à Londres avec sa fille. » P.18

Mathias

Antoine

Papa poule

« – Pas trop le trac pour ton contrôle ? demanda Mathias à sa fille en entrant dans la cour.

– Elle ou toi ? intervint Louis d’un air malicieux. Emily rassura son père d’un signe de tête. Elle s’arrêta sur la ligne qui délimitait au sol le terrain de basket. Le trait rouge ne représentait plus la zone des paniers mais la frontière à partir de laquelle son père devait lui rendre sa liberté. » P.136

Célibataire

« Antoine s’approcha d’elle et lui prit la main.

– Ce qui n’est pas normal, c’est que, dans une ville de sept millions et demi d’habitants, des gens comme Mathias et toi soient toujours célibataires. » p.56

Peur du vide

« Il inspira profondément, posa son pied sur le premier barreau, ferma les yeux et grimpa en enchaînant les gestes du mieux qu’il le pouvait. Arrivé à bonne hauteur, sa main chercha à tâtons. Ne trouvant rien, Mathias entrouvrit les yeux, repéra la couverture, se saisit du livre et se retrouva incapable de redescendre. Son cœur battait à tout rompre. Il s’accrocha de toutes ses forces à l’échelle, totalement paralysé. »  p.59

Libraire

 

« Les portes vitrées d’une grande librairie parisienne s’ouvrirent sur les pas d’un client visiblement pressé. » p.14

« Perchée sur une échelle, une vendeuse énonçait à voix haute les titres et quantités des ouvrages rangés dans les rayonnages, pendant que Mathias en reportait les références sur un cahier. » p.14

Papa

« Pourquoi est-ce que mon ex-femme appelle mon meilleur ami pour lui demander de raccompagner ma fille ? – Parce que personne ne savait à quelle heure tu arriverais. – Elle est souvent en retard pour aller chercher Emily à l’école ? »

« Emily décida de faire redécouvrir son quartier à son père. » p.30

P 40

Serviable

« – Tu fais des dîners pour dix mais tu ne t’assieds jamais à table ; tu as du mal à joindre les deux bouts et tu refais le restaurant d’Yvonne ; tu t’es mis en ménage avec ton meilleur ami parce qu’il se sentait seul alors que toi, tu n’en avais pas vraiment envie ; tu crois vraiment que je te laisserai élever mon enfant ? » P.290

Célibataire

« Antoine s’approcha d’elle et lui prit la main.

– Ce qui n’est pas normal, c’est que, dans une ville de sept millions et demi d’habitants, des gens comme Mathias et toi soient toujours célibataires. » p.56

Architecte

« Antoine profita d’un feu rouge pour récupérer sa serviette posée aux pieds de Mathias.

 – Tu peux arrêter de freiner à ma place ! dit-il en se redressant.

 – Pourquoi tu m’as posé ça sur les genoux ? demanda Mathias.

– Ouvre et regarde ce qu’il y a dedans. Mathias en sortit un document, l’air interrogatif.

– Déplie-le ! Dès que la voiture redémarra, le plan d’architecture se plaqua sur le visage de Mathias qui tenta en vain de s’en dépêtrer tout au long du trajet. » p.46

Papa

« Au son de la cloche, la cour de l’école primaire fut envahie par une nuée d’enfants. Emily et Louis, cartable au dos, marchaient côte à côte. Le petit garçon sauta dans les bras de son père. Emily sourit et s’éloigna vers la grille. » p .15

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