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Mc Curry, NY 11 SEPTEMBRE 2001

Commentaire d'oeuvre : Mc Curry, NY 11 SEPTEMBRE 2001. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  10 Février 2019  •  Commentaire d'oeuvre  •  765 Mots (4 Pages)  •  458 Vues

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Mc Curry, NY 11 EPTEMBRE 2001

Le titre, emprisonné entre une illustration et une photo, est sans équivoque. Ce livre nous plonge dans les attentats du 11 septembre 2001 aux Etats unis. Réalité ou fiction ?

Steve McCurry, né le 24 février 1950 à Philadelphie, dans l'État de PennsylvanieÉtats-Unis, est un photographe américain

Membre de l'Agence Magnum depuis 1986, à la recherche de ce qu'il appelle « l'inattendu, le moment du hasard maîtrisé, qui permet de découvrir par accident des choses intéressantes que l'on ne cherchait pas. »

Il est très connu pour sa photographie en couleur très évocatrice, dans la tradition du reportage documentaire, et notamment le portrait emblématique de l'afghane Sharbat Gula prise pendant la guerre d'Afghanistan.

Le personnage principal est donc réel. Mais s’agit-il d’une autobiographie ?

Cette bande dessinée rompt aussi avec les codes puisqu’elle y intègre des photographies de Mc Curry. Il semble qu’on soit à la frontière entre la BD et le reportage documentaire.

Paris le 13 novembre 2015 (page 5-9).

Mc Curry se trouve au stade d France pour assister au match entre la France et L’Allemagne. L’explosion qui a lieue en dehors de l’enceinte le revoit au 11 septembre 2001.

 Comment capter une explosion ? Mc Curry s’interroge sur son travail de photographe et de la vision qu’il donné des événements qui ont jalonné sa vie de reporter.

11 septembre à 8h46 au sud de Manhattan (page 10 à 15).

Rentré la veille d’un voyage au Tibet le photographe se trouve propulsé dans l’horreur des attentats. La planche de la page 11 traduit son hébétement devant cet événement. Cet hébétement a je pense était partagé par l’ensemble des personnes qui regardaient les images à la télévision (mes parents).

A ce stade, Mac Curry doit faire un choix : rester là où il est et filmer de loin les tours jumelles ou bien se rapprocher au plus près des tours.

Finalement, il choisira de rester sur place par manque de temps ce qui lui a certainement sauvé la vie puisque les tours se sont effondrées.

De part le monde ( page 16—25)

Le danger McCurry le cannait bien il l’a côtoyé a plusieurs repises lors de ses déplacements : Slovénie, Indes, Afghanistan. Dans le cadre de son activité, danger et « l’inattendu » sont souvent mêlés. Le danger n’est donc pas un frein pour lui.

Au terme de cette troisième partie, le caractère autobiographique est de plus en plus présent. L’impression que c’est Mc Curry en personne qui parle et non le personnage est de plus en plus fort. Cette impression est renforcée par l’absence de bulles de dialogues. Il n’y a que des encarts reflétant sa pensée.

Au cœur de la guerre (page 26 à 49)

Les planches 26 et 27 définissent bien la tentative des auteurs à traduire par la bande dessinée la vision choisie par le personnage principale. Ils n’y parviennent pas puisqu’ils présentent sous forme d’une triptyque la destruction des tours mais avec les vraies photographies prises par le personnage principal.

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