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Lecture linéaire / Les Cahiers de Douai / Rimbaud

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Par   •  4 Juin 2022  •  Commentaire de texte  •  1 628 Mots (7 Pages)  •  1 273 Vues

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Texte 9 ma bohème

Les Cahier de Douai apparaisse comme le recueil de la fuite. Il est également synonyme de création poétique. Rappelons que c’est lors d’une fugue à l’âge de 16 ans que Rimbaud écrit les poèmes qui constitue se recueil. Ils sont alors le fruit d’un adolescent qu’on pourrait clarifier de génie en quête de liberté. C’est ainsi une révolte adolescente qui s’inscrit en poésie, dans un paysage de voyage a travers les cahiers de Douai publier en 1870. Le poème « Ma Bohême » qui clôture le 2eme cahier de l’œuvre représente un symbole de cette liberté tant recherché, rejetant l’institution. Rappelons que pour s’opposer à l’esprit conservateur au valeurs parfois guerrière plusieurs écrivain dont Rimbaud choisisse une vie de Bohême, c’est à dire libre et érant. La désignation bohémienne renvoie a une population venu de l’Europe de l’est dont le mode de vie est synonyme de liberté et d’inspiration. Rimbaud est sensible à cette manière de vivre car il orthographie son poème avec un accent ^ a la manière de la région de l’Europe de l’est. Dans ce sonnet Rimbaud présente comme un manifeste cette art de vie au hasard de la liberté. Nous nous demanderons donc comment l’idéal poétique de l’auteur se dessine à travers se sonnet.

Mouvement 1 : v1 à 4 = la liberté du voyage

Mouvement 2 : v5 à la fin = création poétique

Dès l’ouverture de son poème Rimbaud, nous mène à son expérience personnelle comme le souligne l’empois de là     de « je » et cette ref va se retrouver tout au long du poème avec les déterminant personnel ce qui renvoie a une tonalité lyrique mais également à une expérience personnel, solitaire. Le verbe de mouvement « Aller » répéter 2 fois au vers 1 et 3 conjugué à l’imparfait nous donne une idée de parcours continu de plus l’imparfait donne une impression de temps qui s’étend sans borne sans horizon finale. La forme pronominale qui ouvre le poème m’en aller est liée à la notion de départ et le verbe j’allais » qui n’a pas d’adjectif qui est réduis à son idée même, montre son avancé, sa progression. Les ressentis du poème eux aussi progresse au vers 1, le groupe nominal les pts amène une image de lutte d’opposition mais cette émotion se transforme dès au premier vers au contact du voyage. Ainsi in peut relever la gradation des poings jusqu’à « amour splendide » jusqu’à « j’ai rêvé », une transformation se dessine de plus l’utilisation pluriel d’amour ainsi que l’adjectif mélioratif splendide donne une impression de richesse de bonheur. Cette transformation est permise grâce a la nature représentée a travers le grp nominale du ciel qui renvoie a une image d’immensité. Le complément circonstanciel de lieu « sous le ciel » suggère que l’extérieur deviens son habitat une nature sublimé par la personnification au vers 2 avec l’emploie de « muse », le poète interpelle cette nature qui semble être son seul. Elle a également le don de transformer la pauvreté qui définit le poète « poche crevé palataux, féale….  

L’emploi du verbe « devenais » au vers 2 souligne clairement ce don de transformation de la nature, il y a aussi une antithèse entre paletot et idéale qui montre que la pauvreté de la possession est que secondaire. Les mots a placé dans la rime dans la 1ere strophes dévoile cette alternance, cette cohabitation entre pauvreté et richesse. Le peu côtoie le grandiose et il y a un mélange harmonieux. Dans la 1ere strophe on a des rimes riches. On peut aussi dire que la joie est présente toute au long du premier quatrain. Cette joie est perceptible grâce a l’utilisation respective de la tournure exclamative. « oh ! la ! la !» « muse ! ». ON peut relever aussi une allitération en L « aller, les idéale, splendide, qui amène une idée de douceurs comme un écoulement harmonieux. Dans cette première strophe le poète est perpétuelle mouvement comme le montre les différents enjambements, il semble presque émerveiller. Il est dans une position de servitude avec l’emploi de féal . On a presque l’idée qui s’imprègnent de la beauté qui est autour de lui pour créé sa poésie.

2eme mouvement :

LE 2eme quatrain s’ouvre à nouveau sur une image de pauvreté avec l’emploi de l’adjectif « unique » mais aussi du groupe nominal « large trou ».  L’image dans le vers suivant grâce à la métaphore du petit poucet qui se pose par antithèse. Qui renvoie au compte un univers merveilleux. Grâce a cette métaphore, il attire une image d’un univers de.  Celui qui et cette métaphore elle est filée car lele se poursuit avec l’emploi du verbe « agrainé » et l’imparfaits amène aussi.  Le rejet au ver s 7 amène distinctement l’écriture. Le gens lexical de la nature marque à nouveau sa richesse et son importance, la nature est l’inspiration de la poésie mais elle est aussi la matière de la poésie. Il y a une association métaphorique avec « mon auberge est à la grande ourse » qui montre que la plume du poète semble transformer une image précaire en image poétique. La répétition du mot « ciel » comme la référence aux étoiles montre que la nature agis comme un guide, un repère pour l’écrivain. L’écrivain est encore plus ambitieux à la fin du 2eme quatrain en associant le pluriel mes étoiles a la notion de froufrou. Il mène ici l’observation à l’Ouïe avec l’adjectif doux et froufrou. Plusieurs sens son à présent convoquer et cette idée est renforcer par l’utilisation du verbe « écouté » qui ouvre le 1ere tercet. Dans le 2eme quatrain on peut dire qu’il y a l’idée de la richesse de la nature, qui renvoie a la liberté de l’errance, du parcours initiatique tu poète qui débute et qui s’enrichisse au fur et a mesure de son avancé, et ces étapes de son voyage sont retranscrit apres le voc employé comme « ma course » mais également par les enjambement et les rejets. Dans le 1ere tercet, le poème amène avec plus de fluidité encore la dualité entre beauté est précarité avec la personnification de la à beauté « je les écoutais » et « assis au bord des route » envoie à la précarité, dans se vers il y a une césure a l’hémistiche qui renvoie à une sorte de fusion des éléments. Le pluriel « les routes » accentue la perspective d’immensité déjà amené au parc avant pas le poète. Il y a une idée de liberté infini du voyage qui ets présente tout au long du poème et toujours une idée de progression fluides qui mîmes l’avancée de la marche avec l’enjambement : « C’est bon soir de septembre ou je sentais des gouttes rosées... », le groupe CCT est le 1er temporelle qui apparaît dans le poème qui semblais au parc avant hors du monde, sa donne une impression de réalité dans une nature sublimé. La comparaison comme un vent de vigueur renvoie à nouveaux à la figure de la création poétique d’où n’ait les associations. Ici la création franchis une nouvelle étape car les sens évolue avec l’odorat, s’ajoute avec vin de vigeur et une référence au touché avec le complément du nom « a mon front », le poète et donc créateur de musicalité et d’assiciation.

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