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Introduction et ouverture possible Fable de la fontaine

Dissertation : Introduction et ouverture possible Fable de la fontaine. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  11 Novembre 2021  •  Dissertation  •  333 Mots (2 Pages)  •  1 762 Vues

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Au XVII e siècle Jean de la Fontaine écrivait ses fables pour critiquer la société et pour éduquer le jeune dauphin, ces récits de fiction exprimant une vérité générale. Ainsi, selon Jean de la Fontaine “La fable unit le plaisir du récit à l’enseignement d’une morale”. Nous pouvons donc nous demander en quoi la fable parvient à plaire et à instruire. Si la fable parvient à susciter l'intérêt des lecteurs, elle arrive également à leurs former l’esprit.

Nous avons pu constater que la fable arrivait à plaire au lecteur grâce à des récits amusants et variés. Aussi, ces morales s’inspirent de l'expérience de la vie et sont intemporelles. En somme, cela permet de susciter la satisfaction chez le liseur, tout en formant l’esprit de la personne intéressée par ses fables, en l’instruisant. Au XVIIe siècle, d’autres auteurs célèbres ont utilisé la langue française comme mode d’instruction et de plaisance à la fois. On songe notamment à Charles Perrault qui, lui, utilisait le conte pour arriver à ses fins.

Au XVII e siècle Jean de la Fontaine écrivait ses fables pour critiquer la société et pour éduquer le jeune dauphin, ces récits de fiction exprimant une vérité générale. Ainsi, selon Jean de la Fontaine “La fable unit le plaisir du récit à l’enseignement d’une morale”. Nous pouvons donc nous demander en quoi la fable parvient à plaire et à instruire. Si la fable parvient à susciter l'intérêt des lecteurs, elle arrive également à leurs former l’esprit.

Nous avons pu constater que la fable arrivait à plaire au lecteur grâce à des récits amusants et variés. Aussi, ces morales s’inspirent de l'expérience de la vie et sont intemporelles. En somme, cela permet de susciter la satisfaction chez le liseur, tout en formant l’esprit de la personne intéressée par ses fables, en l’instruisant. Au XVIIe siècle, d’autres auteurs célèbres ont utilisé la langue française comme mode d’instruction et de plaisance à la fois. On songe notamment à Charles Perrault qui, lui, utilisait le conte pour arriver à ses fins.

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