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Ecriture d'invention racisme

Discours : Ecriture d'invention racisme. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  21 Octobre 2021  •  Discours  •  692 Mots (3 Pages)  •  318 Vues

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Écriture d’invention n°1

Samya, l’héroïne et narratrice, s’élève pour les 500.000 sans papier en France victime de racisme.

Le cas des sans papier en France est juste scandaleux, je vais vous dire, il y’a un petit  peu moins d’une semaine je me baladais dans les rues de Paris tout était calme, le silence était telle que même le miaulement du chat d’enfance ne résonnait plus. Vous savez dès qu’une personne de couleur se promène dans les beaux quartiers de paris les regards sont jugeant et voir même discriminant, mais vous comprendrez pourquoi je vous dis ça un peu plus tard. Enfin bref, je disais donc que le silence était impressionnant, quand tout à coup un cri aigu retentis… C’était le cri d’une petite fille qui était suspendue à un balcon au 5ème étage d’un immeuble des beaux quartiers Parisiens. Tout le monde était regrouper sous le balcon regardant les jambes de l’enfant se balader dans le vide, mais personne ne faisait rien, personne ne bougeait, personne n’agissait. Le temps me parut s’arrêté comme tout ce qui se trouvait autour de moi, je ne voyais que cette fillette affolée qui attendait qu’on lui vienne en aide désespérément, j’arrivais à apercevoir ses petites mains tremblotantes et ses yeux tout plein de larme… Je ne pouvais pas la laisser comme ça ! Cela me paraissait inconcevable. Je discernais, pas loin dans le jardin du voisin une échelle, je partis la récupérer et la plaça juste en dessous du premier balcon, je pris alors mon courage à deux main, et me mire à monter à celle-ci, l’espace qui se trouvait entre les autres balcons était moindre, comparer au tout premier. Je réussi alors à attraper le coin du second balcon et à la force des bras à me hisser jusqu’à celui-ci, cinq minutes plus tard j’arrivais enfin au 5ème balcon. Je pris dans mes bras la fillette et je ressentis comme un soulagement lorsqu’elle essaya de me remercier, son visage s’éclairait et un petit sourire se dégageait au coin de sa bouche. J’avais réussis à sauver cet enfant, c’est la seule phrase qui raisonnait dans ma tête. Au bout de 20 minutes les pompiers arrivèrent enfin et nous firent descendre tous les deux. Tout le monde me regardait et n’osait rien dire, aucun son ne sortait de leurs bouches, juste de la stupéfaction. Quand seulement voilà, une personne se mit a crié « se singe a sauver cette pauvre enfant pour obtenir les papiers français » à ce moment-là une rage s’empara de moi, parce que oui vous avez dû le devinez je suis une sans papier, mais cela ne change en rien que nous sommes tous des êtres humains égaux. Je n’avais pas sauvé cette fillette pour obtenir la nationalité française, mais cela ne devais pas être clair pour te le monde car à ce moment précis tous les regards se braqua sur moi, tout le monde me fixaient je me sentais comme juger, j’en venais même à me demander si il pensait que tout n’était pas calculer alors que pour moi mon acte était tout simplement humain ? Non, je me suis sentit oppresser, le temps s’arrêtera une seconde fois mais cette fois ci, du d’égout, de la haine, et de l’écœurement m’envahis. Pour moi le fait qu’on soit rejeter par certains parce que on n’a pas la même couleur de peau ou pas la même nationalité est très grave surtout dans la société actuelle nous sommes au XIXème, de nos jours le racisme ne sert qu’à diviser les différentes populations, la plupart des étrangers viennent dans notre pays parce que chez eux il y a la guerre, et n’ont souvent plus rien à manger. Cela vous avance a quoi de ne pas aimer les étrangers ? Ils apportent des nouvelles cultures et traditions dans notre pays c’est ce qui en fait un endroit de mixité culturel. Mais encore faudrait-il que tout cela explose au grand jour.

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