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Dire l'amour dans l'antiquité

Commentaire d'oeuvre : Dire l'amour dans l'antiquité. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  25 Juin 2019  •  Commentaire d'oeuvre  •  303 Mots (2 Pages)  •  709 Vues

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Textes complémentaires

Séquence 5

Titre Auteur Contexte Résumé

Odes

(Poème lyrique destiné à être accompagné de musique)

Anacréon

(Un des plus grands poètes lyriques grecs) Antiquité

(≈-500 avant JC) Anacréon ouvre la porte à l’amour (sous la pluie), mais cupidon («ne crains rien, je suis petit ») va lui percer le cœur.

Amour=souffrance

Cupidon=allégorie de l’amour malin, « jeune enfant », « perce le cœur » avec ses flèches.

Inconnu

(Fragments, ode) Sappho

(Poétesse lyrique grecque, lesbienne) Antiquité

(≈-600 avant JC) Hymne à Vénus

Invocation de Vénus (=déesse de ♥)

Elle la supplie de «délivrer de mes cruels tourments »=l’amour

Amour= chagrins + douleurs

Deuxième partie description de son désir amoureux (« flamme », « expier », …) → rappel Phèdre de Racine (dernière scène).

Elégies

(A Rome) Properce

(Poète latin) Antiquité

(≈-25 avant JC) Properce est une victime de l’amour (« ennemi », « poisons », « brûle mes veines »)

Pour lui, amour= maladie qui l’anéantis

Allégorie de l’amour = cupidon (« image enfantine », « armée de flèches perçantes »)

Il demande l’aide des dieux.

Inconnu

(Poésies, 76) Catulle

(Poète romain) Antiquité

(≈-100 avant JC) Catulle éprouve un amour (non réciproque) pour un romain.

Amour= « tortures », « souffrance », « fléau destructeur », « maladie noire »

Il demande aux dieux de lui faire grâce.

Orgies, luxure, débauche... On prête aux Anciens des mœurs dépravées. La réalité historique est différente. Beaucoup de pratiques aujourd'hui choquantes étaient répandues, mais Athènes comme Rome avaient leurs interdits. Les historiens se sont penchés sur ces sociétés auxquelles nous devons tant, vices et vertus. A quoi ressemblait la sensualité dans l'Antiquité"

En ce jeudi après-midi de juillet, un groupe de retraités français pénètre dans le «cabinet secret» du Musée archéologique national de Naples. Deux pièces exiguës, dotées d'une lourde grille en fer forgé derrière laquelle les autorités italiennes ont entreposé pendant plus de deux siècles, loin des regards, vases, dessins et bas-reliefs obscènes trouvés lors des fouilles de Pompéi et d'Herculanum.

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