Acte 3, scène 2, Don Juan de Molière

acte III, scène 2, Don Juan

Questions possibles

Quelle critique présente cette scène ?

En quoi cette scène est-elle symbolique ?

Qui sort vainqueur de cette scène et pourquoi ?

En quoi cette scène est elle une scène de tentation ?

Plan

I- Les étapes de la tentation

a) La remise en cause de l’aumône (R1 à R15)

b) La moquerie de Don Juan à l’égard de l’inutilité de la prière (R17 à R31)

c) Du chantage au blasphème ( jusqu’à la Fin)

Situation et présentation de l’extrait

Don Juan a courtisé dans les scènes précédentes charlotte, etc… Et maintenant Don Juan est poursuivi par les frères d’Elvire, ils veulent se venger de l’outrage fait à leur soeur. On arrive donc à la scène qui précède celle la, où Sganarelle et Don Juan échangent leurs costumes pour ne pas se faire remarquer par les frères. Ils se réfugient dans une forêt, et ils sont perdus, et ils demandent leur chemin au personnage du pauvre. Ce personnage du pauvre, a une fonction dramatique (dans l’action) mais aussi symbolique (car il ne réapparaitra pas dans la pièce). On appelle cette scène, la scène du pauvre. Cette scène a été travaillé et retravaillé par Molière. Le dialogue n’est pas spontané, les répliques se répondent entre elles. Cette scène est divisé en plusieurs parties

Analyse

La pratique de l’aumône au XVIIe siècle fait partit véritablement du contrat social, dans le sens où une personne de la noblesse, aristocratie, a le devoir moral et religieux de donner l’aumône à une pauvre.

I- A)

L’emploi de la seconde personne du pluriel, le vouvoiement, du pauvre a Don Juan traduit des le début du texte une laque de respect. Ce vouvoiement faut réponse eu totalement de Don Juan au pauvre, qui montre que Don Juan se positionne au dessus du pauvre.

Dans la première réplique le pauvre indique le chemin, il répond a la réplique de Sganarelle, qui renvoie à l’égarement des personnages.

La première réplique de Don Juan « Je te suis bien obligé, mon ami, et je te rends grâce de tout mon coeur » montre que Don Juan provoque le pauvre parce qu’il sait qu’il devrait qu’il devrait lui donner l’aumône. C’est face à cette provocation que le pauvre va répondre, une question directe et une hypothèse en « Si », qui montre une certaine honte, discrétion de la part du pauvre a devoir demander l’aumône.

Ensuite la pauvre se justifie au travers de la périphrase « je suis un pauvre homme », ainsi que la justification du pauvre avec l’indice temporel « depuis 10 ans » qui montre une idée de solitude.

« Je ne manquerais pas de prier […] sorte de biens » L’emploi du futur catégorique est la promesse et la justification religieuse.

L’emploie des interjection de Don Juan, au travers desquelles il se moque du pauvre et « Ah, ah ton avis est intéressé à ce que je vois » où Do Juan le rabaisse et le provoque, et l’accuse de demander une rétribution financière, réplique par laquelle Don Juan inverse les rôles.

« Prit le qu’il te donne

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