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Esch Alzette

Nous avons pris des analyses du ruisseau Alzette. Durant 140 ans, entre Schifflange et Esch-sur- Alzette, l’activité sidérurgique marchait ininterrompue. En 1871, le fondateur Emile Metz a créé la « Metzeschmelz » et fait apparaitre le haut-fourneau Eschois. Vers la fin du 19ième siècle 4 hauts fourneaux en exploitation sur le territoire eschois. Dans les années 1920, les quatre usines de la région (Esch-Belval,Esch-Schifflange, Esch-Terres-Rouges et Audun-le-Tiche), en vue d’augmenter leur productivité, furent interconnectées par le déploiement de conduites de gaz de HFx et de ligne de haute-tension. En 1955 et 1959, 2 nouveaux hauts-fourneaux (HF A et HF B) ont été construits, en remplacement des 6 anciens fours, démolis en 1963. Le dernier haut-fourneau (HF C) fut érigé sur le site d’AES (ARBED Esch-Schifflange) en 1964, ensemble avec le convertisseur LD-AC (Linz-Donawitz-Arbed-Centre-National). L’arrêt définitif de la filière fonte à Esch-Schifflange, dû à la crise sidérurgique de 1975, a eu lieu en septembre 1977 avec la démolition des 3 hauts-fourneaux restant. A l’époque, les divers sidérurgies avait jeté leurs déchets dans le ruisseau Alzette. C’est pourquoi, nous avons décidé de prendre plusieurs échantillions pour déterminer l’état de l’eau dans la sidérurgique eschoise.

Schifflange : A Schifflange, ils ont réalisé un projet de renaturation de l’Alzette en 1990 dû aux fortes pollutions des sidérurgies. Le but du projet est d’avoir une augmentation de la biodiversité et l’amélioration de la situation hydraulique.  Donc nous avons pris un échantillon de l’eau pour l’efficacité du projet.

Walferdange :  Notre dernière destination était Walferdange.  Le but était de voir si le projet fonctionne bien et voir si l’eau était d’une meilleur qualité que les précédente.

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