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Ssoi404

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Par   •  20 Février 2019  •  Analyse sectorielle  •  1 770 Mots (8 Pages)  •  532 Vues

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UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À CHICOUTIMI

TRAVAIL D’ÉVALUATION D’UNE PLAIE

PRÉSENTÉ À

NATHALIE GUERIN

COMME EXIGENCE PARTIELLE

DU COURS

SOINS DE PLAIES (SSOI1234)

PAR

VALÉRIE SIMARD-LEMIEUX (SIMV05608801)

TRAVAIL D’EQUIPE

04 JUIN 2018


Résumé

Le but de cette recherche est de déterminer si le nombre d’heure de sommeil des étudiants universitaires est adéquat selon les normes recommandées. Le fait de concilier famille-études ou travail-études peut-il nuire à leur nombre d’heure de sommeil? Les étudiantes ont comptabilisé leurs heures de sommeil à l’aide de montres Fitbit facilitant l’entrée des données dans un tableau Excel afin d’y être comptabilisées. Le résultat anticipé est que la conciliation famille-études ou travail-études nuit au nombre d’heure de sommeil des étudiantes. Étant étudiante depuis plusieurs années, nos constatations et notre vécu nous font pencher en faveur de la H1. Nous avons hâte de prendre connaissance des résultats.

Introduction

Les étudiants à temps plein doivent consacrer une grande partie de leur temps à la préparation, à la participation ainsi qu’à l’étude liée à leurs cours. Meldrum et Restivo (2014) ont démontré que ce temps peut parfois empiéter sur leurs habitudes de sommeil habituelles. Plusieurs facteurs peuvent être en cause, tel que mentionner par Landis et Heitkemper (2016) « Les différents comportements d’une personne, son mode de vie, son alimentation et les médicaments qu’elle prend sont des facteurs qui contribuent à l’insomnie. p.145 ». De plus les étudiants devant concilier travail-études ou famille-études doivent d’autant plus jongler avec leurs horaires afin d’organiser leur temps, et d’être en mesure d’avoir un environnement convenable pour étudier comme le mentionne Bonin (2014), « L’environnement de travail, en présence d’enfants, n’est pas non plus toujours propice à l’étude. » contrairement aux étudiants n’ayant pas ce type de conciliation. Lors d’un retour aux études après une pause, il a été démontré par Bonin (2014) qu’un étudiant universitaire devra revoir sa façon de faire et d’exécuter son travail et que l’habituation a cette cadence sera plus complexe. Il existe plusieurs études concernant la conciliation famille-études ou travail-études ainsi que ses impacts auprès des étudiants, mais peu concernant leur sommeil. C’est pourquoi la présente recherche tente de répondre à l’interrogation suivante : Serait-il possible de conserver un nombre d’heure de sommeil adéquat tout en conciliant famille-études ou travail-études lors d’un retour aux études ? En premier lieu, les moyennes des minutes de sommeil des sujets seront comparées à des données probantes compte tenu du petit échantillon utilisé. En deuxième lieu, les moyennes de minutes de sommeil de chaque semaine seront comparées afin de déterminer s’il y a une différence significative avec les recommandations de Statistique Canada.

 

Objectifs

Le but de cette démarche servira à vérifier si les étudiantes possèdent un nombre suffisant d'heure de sommeil malgré leurs contraintes liées à la conciliation famille-études ou travail-études. Les 2 parties du travail seront comparée aux données probantes.

 Partie 1 :

Formulation de l’hypothèse nulle. L’hypothèse nulle est que la conciliation famille-études ou travail-études n’affectera pas le nombre d’heures de sommeil pour chaque étudiante.

H0 : µ1 = µ2

Formulation de l’hypothèse alternative.  L’hypothèse alternative est que la conciliation famille-études ou travail-études affecte le nombre d’heures de sommeil pour chaque étudiante.

H1 : µ1 ≠ µ2

Partie 2 :

Formulation de l’hypothèse nulle. L’hypothèse nulle est que la conciliation famille-étude n’affecte pas la moyenne d’heures de sommeil par semaine des 3 étudiantes confondues.

H0 : µ1 = µ2 = µ3 = µ4 

Formulation de l’hypothèse alternative.  L’hypothèse alternative est que la conciliation famille-étude affecte la moyenne d’heures de sommeil par semaine des 3 étudiantes confondues.

H1 : µ1 ≠ µ2  µ3  µ4 

Méthodes

Cette recherche a été conçue avec un petit échantillon de 3 étudiantes. Celles-ci devaient étudier à temps plein d’un programme universitaire, faire un retour aux études et devoir concilier soi famille-études ou travail-étude. La rechercher a été réalisée sur une période de 28 jour consécutive (4 semaines), des données sur le nombre d’heure de sommeil de 3 étudiantes faisant l’objet un retour aux études a été comptabilisé à l’aide d’une montre Fitbit. Ces données ont été organisées dans un tableau Excel de façon hebdomadaire à l’intention d’en faciliter l’organisation et la lecture. Un diagramme tri linéaire a été choisi afin de mieux comparer les données des étudiantes. Elles ont été appelées respectivement ‘’sujet 1,2 et 3’’. Le but étant de voir si concilier famille-études ou travail-étude a un impact ou non, sur leur nombre d’heure de sommeil. Il a été décider d’exclure les autres facteurs nuisibles au sommeil dans cette recherche puisque nos facteurs personnels sont différents d’une à l’autre.

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