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Apprend-on mieux auprès de ses semblables ?

Rapport de stage : Apprend-on mieux auprès de ses semblables ?. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  24 Janvier 2024  •  Rapport de stage  •  1 230 Mots (5 Pages)  •  62 Vues

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Apprend-on mieux auprès de ses semblables ?

Nous apprenons continuellement le long de notre vie pour faire évoluer notre mode de vie et élargir notre compréhension. Apprendre c’est acquérir de nouvelles compétences, connaissances ou encore expériences qui nous permettent de grandir et de se développer. On apprend de différentes manières, par l’observation, la pratique ou les interactions avec les autres. Ces autres peuvent être des personnes qui nous sont plus ou moins semblables, c’est à dire des êtres qui nous ressemblent, qui ont des caractéristiques, des intérêts ou de expériences similaires aux nôtres. Ils peuvent être des amis, des membres de notre famille ou des membres d’une communauté. Dans “La petite sirène” d'Andersen, le personnage clé de l’histoire grandi par sa famille mais aussi par sa propre expérience. On peut alors se demander si on apprend mieux auprès de ses semblables. Dans une première partie nous défendrons la faite que oui, c’est par nos semblables que nous apprenons le mieux. Puis dans une seconde partie nous expliquerons que non, on apprend tout aussi bien sans ses semblables.

Dès les premiers instants de la vie, nous sommes près de nos semblables les plus proches, notre famille. C’est par eux que nous apprenons nos premières connaissances. Les prémices de l’apprentissage se font par mimétisme, au plus jeune âge le bébé reproduit ce que font ses proches et apprend à attraper des objets, manger ou encore marcher. Il découvre ainsi ses premiers besoins, qui peuvent ressembler à ceux des animaux ou des insectes, qui apprennent grâce à leurs semblables à vivre dans leurs milieux en apprenant à subvenir à leur besoin primitif. En effet dans l’album “une incroyable fourmi” d’Isabelle Courtois, on nous explique le mimétisme qu’utilise les fourmis pour apprendre à vivre avec leur fourmilière, comme les enfants pour vivre en collectivité.

L’apprentissage se fait également par un langage commun, on découvre grâce à celui-ci la culture de notre pays ainsi que son histoire. Le langage permet d’appartenir à une communauté, avec laquelle on échange et on se construit. Par exemple dans le compte “La petite sirène” d’Andersen, la petite sirène est un personnage qui est décrite comme curieuse mais peu bavarde et qui adore en savoir plus sur le monde des hommes. Par les expériences de ses sœurs elle en apprend chaque fois plus sur ce monde et s’y projette. Sans ce langage commun elle ne pourrait comprendre et avoir des connaissances sur un nouveau monde. En effet, lorsqu'elle devient humaine, elle ne peut parler avec les autres et donc questionner les gens de se monde qu’elle a toujours rêvé de découvrir. Cela la rend triste et seule, car elle ne sera jamais un être un être à part entière de cet univers.

On grandit également grâce à nos semblables, qui nous transmettent des valeurs, c’est l’héritage de leurs connaissances. Dans le milieu où ont né, on apprend à y vivre grâce à l’ensemble des personnes qui nous entourent, eux même on apprit avant à vivre dans le milieu. D’ailleurs, tout au long du conte, les sœurs ainsi que la grand-mère transmettent le savoir qu’elles ont du monde extérieur, pour que la petite sirène soit préparée et puisse s’adapter une fois-là bas. La protagoniste est d’autant plus rassurée que ce soit des personnes de sa famille qui lui apporte des connaissances, car ce sont des personnes qui lui ont appris à vivre dans son monde, elle a confiance et est plus apte à écouter.

Bien que nos semblables nous permettent de grandir durant une période de notre vie, il est important de découvrir et de vivre des expériences

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