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Histoire du travail social

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Par   •  24 Septembre 2017  •  Cours  •  980 Mots (4 Pages)  •  2 302 Vues

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Histoire du travail du travail social

Religion, émancipation, professionnalisation  3 grands axes de services sociaux et leur développement.

Les pionnières 1892 « la charité en Angleterre » Marquis Albert Costa 1896.

1899 Mutation catholique mouvement du Sillon porteur d’un idéal de justice sociale. Des femmes telles qu'Apolline de Gourlet et Madeleine Hardouin se passionnent pour l'idéal du mouvement silloniste.

Principes de justice sociale énoncés par la constitution du 24 juin 1793 (art 21) :

La société doit assistance aux citoyens malheureux soit en leur procurant du travail, soit en assumant les moyens d'exister à ceux qui sont hors d'état de travailler.

1902 : Le solidarisme repose sur la notion de dette sociale.

1894 : assistance médicale gratuite et l’habitat à bon marché.

1898 : santé publique.

1904-1905 : 1905 assistance aux enfants puis aux vieillards

L’idée de justice social est très importante.

Le sillon est porteur d'un idéal de justice sociale qui passe par un idéal d'éducation démocratique qui vise à l'émancipation du peuple. Les femmes trouvent une place dans ce mouvement qui est également une opportunité d'émancipation.

Ici le contexte est le développement industriel et ses conséquences. Les conditions de vie des ouvriers en France sont dures autant que pour les enfants et les femmes.

1896 : Création des maisons sociales, les femmes qui y travailler étaient des travailleuses sociales.

Elles sont :

  • Financer par les familles des filles qui vivent.
  • Stopper par l’affaire de Marie Jeanne Bassots.
  • Reprend sur une structure associative de l’Abbé Viollet

Les figures de Marie Gahéry et de l'Abbé Viollet se détachent par la création pour l'une école pratique de formation sociale en 1907 pour l'autre une école libre d'assistance privée avec un modèle de formation par alternance.

Le pasteur Paul Doumergue crée en 1913 une école pratique de service social dont les acteurs seront à l'origine de la création de l'école de Montrouge.

1905 séparation de l'église et de l'état. Conséquence : le travail social ne sera plus sous la seule emprise religieuse.

Les maisons sociales ne disparaissent pas pour autant mais se réorganisent autour de valeur traditionnelle ; la tentative d'émancipation portée par le sillon est stoppée.

La professionnalisation des assistantes sociales (elles ne s'appellent encore AS) débute.

En 1905 sous l'impulsion de Léonie Chaptal les hôpitaux de l'assistance publique crée une maison école d'infirmière visiteuses qui sont formées aux visites à domicile.

En 1914 est créé l'association des infirmières de France.

La lutte contre la tuberculose s'organise. Toutefois la France manque cruellement d'infirmières qui sont mobilisées pour le front ainsi que de moyens.

En 1918 sur l'initiative de la croix rouge américaine avec le rapprochement de l'Abbé Viollet création d'un fichier central d'assistance et d'aide sociale sur le modèle américain avec des permanences d'entraide sociale.

Le sénateur louis Dausset qui siège au comité directeur des maisons sociales fait partie de l'initiative.

Dans le même temps l'effort d'armement a pour conséquence l'emploi massif des femmes dans l'industrie.

Discrètement les assistantes de service social intègrent le paysage professionnel par l'hôpital et l'assistance publique. C’est à nouveau les Etats-Unis qui transféreront le modèle de « l'assistante sociale » salariée. Le médecin pose le diagnostic médical et l’assistante social le diagnostic social.

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