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UCitation Anonyme D'un vétéran

Dissertation : UCitation Anonyme D'un vétéran. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  27 Mai 2015  •  3 083 Mots (13 Pages)  •  703 Vues

Page 1 sur 13

Citation anonyme d’un vétéran : « La lanterne des morts, rayonne sur le

champ de bataille et porte jusqu'à l'horizon le souvenir de cet évènement douloureux. ».gronder.

Aujourd’hui, je poursuis encore dans le mensonge, même si j’essaie de le limiter dans la maison, parce que les conséquences sont lourdes pour moi : j’essuie un sermon de mes parents qui me punissent.

Malgré cela, je continue à mentir, ne comprenant pas mes bêtises.

Je mentais pour des choses bien précises

s :

-par exemple, quand je volais un livre à ma sœur ou à mon beau-père avant qu’il-elle l’est lu, mes parents me repéraient et m’accusaient. Je niais presque tout le temps mais j’étais repéré et ils me punissaient en me donnant des lignes à recopier.

Dès fois, je prenais de la nourriture dans les placards de la maison. Quand mes parents le découvraient, ils me punissaient de dessert.

Quand je mentais pour mes devoirs, mes parents me privaient de jeux vidéo ou me faisaient faire des rédaction sur le mensonge

Dans la vie, le mensonge n’apporte rien de bon. Bien au contraire, il ne fait que ramener et attiser le mal et la haine dans la vie des gens. Pourtant, il amène une seule chose positive : c’est le fait de reporter sa punition au lendemain ou de ne pas se faire gronder par ses ainés. Mais les mensonges sont toujours découverts un jour ou l’autre. De plus, quand une personne apprend que vous mentez, sa confiance en vous descend ou plus profond d’elle-même et vous perdez beaucoup de son estime.

Pour moi, mentir n’apporte rien, à part de se faire gronder par mes parents après qu’ils aient découverts le mensonge parce que je mens très mal et le subterfuge est très rapidement repéré.

Le mensonge a commencé à arriver chez moi quand j’avais quatre ans.

Lorsque je faisais une bêtise, comme casser un jouet, briser un verre ou bien fouiller dans les affaires de mes parents, je me mettais toujours à accuser ma sœur, qui était à ce moment âgée seulement de deux ans. Bien entendu, suite à leurs recherches, mes parents finissaient toujours par retrouver le véritable coupable.

Mes mensonges s’aggravaient de plus en plus au fil des années. Plus tard, quand je fis mon entrée dans les classes de primaire, je me mis à cacher mes notes à mes parents. Je faisais cela quand ma note ne dépassait pas les quatorze sur vingt. Evidemment, mes parents finissaient par se demander où était la note et :

- Soit j’étais obligé de leur avouer ma faute ;

- Soit ils la cherchaient et la retrouvaient, cachée sous mon lit ou dans mes affaires, et me punissaient.

Dans ma famille, le prétexte « faute avouée à demi-pardonnée » marchait parce que je me faisais plus punir quand je mentais et lorsque j’avouais ma faute.

Quand je grandis, je me mis à mentir à mes copains sur ma vie, et faisais croire que j’avais une existence de rêve, mais je me résignai vite, je compris que cela ne me servirait à rien pour me faire des amis. Je continuais toujours à mentir à mes parents sur mes notes ou sur mes cours du jour. En classe de CM2, je mentais chaque soir sur mes devoirs, et ne les faisais jamais.

Quand je rentrai enfin au collège, je ne fis pas encore la même erreur, et décidai de dire la vérité à mes copains sur ma vie. L’année de sixième fut la pire année du collège pour mes parents, je ne faisais que leur mentir et ne comprenais pas la gravité de mes actes, je pensais que ce que je faisais était une bêtise comme les autre. Mais ma mère le voyait d’un autre œil, comme un crime contre l’humanité.

Elle me le fit comprendre plusieurs fois en me disant de prendre garde à moi si je n’arrêtais pas de mentir.

Quand je rentrai en classe de cinquième, je commençais à avoir de sérieux problèmes avec le mensonge, je dupais même les professeurs.

Et puis, en fin d’année, on me diagnostiqua mon handicap. J’étais atteint d’une sorte d’autisme de haut niveau, le syndrome d’Asperger. Alors, je rencontrai un psychologue régulièrement pour lui parler de mes problèmes, et en particulier le mensonge. De la cinquième à la quatrième, je m’améliorai mais ce n’étais pas assez. Aussi, je devais cacher mon infirmité à mes camarades, craignant leurs railleries et c’était aussi un mensonge

Actuellement, je continue constamment à mentir. Pourquoi ? Je pense que c’est parce que je suis atteint de procrastination et que je veux toujours tout reporter au lendemain ma punition pour ne pas me faire gronder.

Aujourd’hui, je poursuis encore dans le mensonge, même si j’essaie de le limiter dans la maison, parce que les conséquences sont lourdes pour moi : j’essuie un sermon de mes parents qui me punissent.

Malgré cela, je continue à mentir, ne comprenant pas mes bêtises.

Je mentais pour des choses bien précises

s :

-par exemple, quand je volais un livre à ma sœur ou à mon beau-père avant qu’il-elle l’est lu, mes parents me repéraient et m’accusaient. Je niais presque tout le temps mais j’étais repéré et ils me punissaient en me donnant des lignes à recopier.

Dès fois, je prenais de la nourriture dans les placards de la maison. Quand mes parents le découvraient, ils me punissaient de dessert.

Quand je mentais pour mes devoirs, mes parents me privaient de jeux vidéo ou me faisaient faire des rédaction sur le mensonge

Dans la vie, le mensonge n’apporte rien de bon. Bien au contraire, il ne fait que ramener et attiser le mal et la haine dans la vie des gens. Pourtant, il amène une seule chose positive : c’est le fait de reporter sa punition au lendemain ou de ne pas se faire gronder par ses ainés. Mais les mensonges sont toujours découverts un jour ou l’autre. De plus, quand une personne apprend que vous mentez, sa confiance en vous descend ou plus profond d’elle-même et vous perdez beaucoup de son estime.

Pour moi, mentir n’apporte rien, à part de se faire gronder par mes parents après qu’ils aient découverts le mensonge parce que je mens très mal et le subterfuge est très rapidement repéré.

Le mensonge a commencé à arriver chez moi quand j’avais quatre ans.

Lorsque je faisais une bêtise, comme casser un jouet, briser un verre ou bien fouiller dans les affaires de mes parents, je me mettais toujours à accuser ma sœur, qui était à ce moment âgée seulement de deux ans. Bien entendu, suite à leurs recherches, mes parents finissaient toujours par retrouver le véritable coupable.

Mes mensonges s’aggravaient de plus en plus au fil des années. Plus tard, quand je fis mon entrée dans les classes de primaire, je me mis à cacher mes notes à mes parents. Je faisais cela quand ma note ne dépassait pas les quatorze sur vingt. Evidemment, mes parents finissaient par se demander où était la note et :

- Soit j’étais obligé de leur avouer ma faute ;

- Soit ils la cherchaient et la retrouvaient, cachée sous mon lit ou dans mes affaires, et me punissaient.

Dans ma famille, le prétexte « faute avouée à demi-pardonnée » marchait parce que je me faisais plus punir quand je mentais et lorsque j’avouais ma faute.

Quand je grandis, je me mis à mentir à mes copains sur ma vie, et faisais croire que j’avais une existence de rêve, mais je me résignai vite, je compris que cela ne me servirait à rien pour me faire des amis. Je continuais toujours à mentir à mes parents sur mes notes ou sur mes cours du jour. En classe de CM2, je mentais chaque soir sur mes devoirs, et ne les faisais jamais.

Quand je rentrai enfin au collège, je ne fis pas encore la même erreur, et décidai de dire la vérité à mes copains sur ma vie. L’année de sixième fut la pire année du collège pour mes parents, je ne faisais que leur mentir et ne comprenais pas la gravité de mes actes, je pensais que ce que je faisais était une bêtise comme les autre. Mais ma mère le voyait d’un autre œil, comme un crime contre l’humanité.

Elle me le fit comprendre plusieurs fois en me disant de prendre garde à moi si je n’arrêtais pas de mentir.

Quand je rentrai en classe de cinquième, je commençais à avoir de sérieux problèmes avec le mensonge, je dupais même les professeurs.

Et puis, en fin d’année, on me diagnostiqua mon handicap. J’étais atteint d’une sorte d’autisme de haut niveau, le syndrome d’Asperger. Alors, je rencontrai un psychologue régulièrement pour lui parler de mes problèmes, et en particulier le mensonge. De la cinquième à la quatrième, je m’améliorai mais ce n’étais pas assez. Aussi, je devais cacher mon infirmité à mes camarades, craignant leurs railleries et c’était aussi un mensonge

Actuellement, je continue constamment à mentir. Pourquoi ? Je pense que c’est parce que je suis atteint de procrastination et que je veux toujours tout reporter au lendemain ma punition pour ne pas me faire gronder.

Aujourd’hui, je poursuis encore dans le mensonge, même si j’essaie de le limiter dans la maison, parce que les conséquences sont lourdes pour moi : j’essuie un sermon de mes parents qui me punissent.

Malgré cela, je continue à mentir, ne comprenant pas mes bêtises.

Je mentais pour des choses bien précises

s :

-par exemple, quand je volais un livre à ma sœur ou à mon beau-père avant qu’il-elle l’est lu, mes parents me repéraient et m’accusaient. Je niais presque tout le temps mais j’étais repéré et ils me punissaient en me donnant des lignes à recopier.

Dès fois, je prenais de la nourriture dans les placards de la maison. Quand mes parents le découvraient, ils me punissaient de dessert.

Quand je mentais pour mes devoirs, mes parents me privaient de jeux vidéo ou me faisaient faire des rédaction sur le mensonge

Dans la vie, le mensonge n’apporte rien de bon. Bien au contraire, il ne fait que ramener et attiser le mal et la haine dans la vie des gens. Pourtant, il amène une seule chose positive : c’est le fait de reporter sa punition au lendemain ou de ne pas se faire gronder par ses ainés. Mais les mensonges sont toujours découverts un jour ou l’autre. De plus, quand une personne apprend que vous mentez, sa confiance en vous descend ou plus profond d’elle-même et vous perdez beaucoup de son estime.

Pour moi, mentir n’apporte rien, à part de se faire gronder par mes parents après qu’ils aient découverts le mensonge parce que je mens très mal et le subterfuge est très rapidement repéré.

Le mensonge a commencé à arriver chez moi quand j’avais quatre ans.

Lorsque je faisais une bêtise, comme casser un jouet, briser un verre ou bien fouiller dans les affaires de mes parents, je me mettais toujours à accuser ma sœur, qui était à ce moment âgée seulement de deux ans. Bien entendu, suite à leurs recherches, mes parents finissaient toujours par retrouver le véritable coupable.

Mes mensonges s’aggravaient de plus en plus au fil des années. Plus tard, quand je fis mon entrée dans les classes de primaire, je me mis à cacher mes notes à mes parents. Je faisais cela quand ma note ne dépassait pas les quatorze sur vingt. Evidemment, mes parents finissaient par se demander où était la note et :

- Soit j’étais obligé de leur avouer ma faute ;

- Soit ils la cherchaient et la retrouvaient, cachée sous mon lit ou dans mes affaires, et me punissaient.

Dans ma famille, le prétexte « faute avouée à demi-pardonnée » marchait parce que je me faisais plus punir quand je mentais et lorsque j’avouais ma faute.

Quand je grandis, je me mis à mentir à mes copains sur ma vie, et faisais croire que j’avais une existence de rêve, mais je me résignai vite, je compris que cela ne me servirait à rien pour me faire des amis. Je continuais toujours à mentir à mes parents sur mes notes ou sur mes cours du jour. En classe de CM2, je mentais chaque soir sur mes devoirs, et ne les faisais jamais.

Quand je rentrai enfin au collège, je ne fis pas encore la même erreur, et décidai de dire la vérité à mes copains sur ma vie. L’année de sixième fut la pire année du collège pour mes parents, je ne faisais que leur mentir et ne comprenais pas la gravité de mes actes, je pensais que ce que je faisais était une bêtise comme les autre. Mais ma mère le voyait d’un autre œil, comme un crime contre l’humanité.

Elle me le fit comprendre plusieurs fois en me disant de prendre garde à moi si je n’arrêtais pas de mentir.

Quand je rentrai en classe de cinquième, je commençais à avoir de sérieux problèmes avec le mensonge, je dupais même les professeurs.

Et puis, en fin d’année, on me diagnostiqua mon handicap. J’étais atteint d’une sorte d’autisme de haut niveau, le syndrome d’Asperger. Alors, je rencontrai un psychologue régulièrement pour lui parler de mes problèmes, et en particulier le mensonge. De la cinquième à la quatrième, je m’améliorai mais ce n’étais pas assez. Aussi, je devais cacher mon infirmité à mes camarades, craignant leurs railleries et c’était aussi un mensonge

Actuellement, je continue constamment à mentir. Pourquoi ? Je pense que c’est parce que je suis atteint de procrastination et que je veux toujours tout reporter au lendemain ma punition pour ne pas me faire gronder.

Aujourd’hui, je poursuis encore dans le mensonge, même si j’essaie de le limiter dans la maison, parce que les conséquences sont lourdes pour moi : j’essuie un sermon de mes parents qui me punissent.

Malgré cela, je continue à mentir, ne comprenant pas mes bêtises.

Je mentais pour des choses bien précises

s :

-par exemple, quand je volais un livre à ma sœur ou à mon beau-père avant qu’il-elle l’est lu, mes parents me repéraient et m’accusaient. Je niais presque tout le temps mais j’étais repéré et ils me punissaient en me donnant des lignes à recopier.

Dès fois, je prenais de la nourriture dans les placards de la maison. Quand mes parents le découvraient, ils me punissaient de dessert.

Quand je mentais pour mes devoirs, mes parents me privaient de jeux vidéo ou me faisaient faire des rédaction sur le mensonge

Dans la vie, le mensonge n’apporte rien de bon. Bien au contraire, il ne fait que ramener et attiser le mal et la haine dans la vie des gens. Pourtant, il amène une seule chose positive : c’est le fait de reporter sa punition au lendemain ou de ne pas se faire gronder par ses ainés. Mais les mensonges sont toujours découverts un jour ou l’autre. De plus, quand une personne apprend que vous mentez, sa confiance en vous descend ou plus profond d’elle-même et vous perdez beaucoup de son estime.

Pour moi, mentir n’apporte rien, à part de se faire gronder par mes parents après qu’ils aient découverts le mensonge parce que je mens très mal et le subterfuge est très rapidement repéré.

Le mensonge a commencé à arriver chez moi quand j’avais quatre ans.

Lorsque je faisais une bêtise, comme casser un jouet, briser un verre ou bien fouiller dans les affaires de mes parents, je me mettais toujours à accuser ma sœur, qui était à ce moment âgée seulement de deux ans. Bien entendu, suite à leurs recherches, mes parents finissaient toujours par retrouver le véritable coupable.

Mes mensonges s’aggravaient de plus en plus au fil des années. Plus tard, quand je fis mon entrée dans les classes de primaire, je me mis à cacher mes notes à mes parents. Je faisais cela quand ma note ne dépassait pas les quatorze sur vingt. Evidemment, mes parents finissaient par se demander où était la note et :

- Soit j’étais obligé de leur avouer ma faute ;

- Soit ils la cherchaient et la retrouvaient, cachée sous mon lit ou dans mes affaires, et me punissaient.

Dans ma famille, le prétexte « faute avouée à demi-pardonnée » marchait parce que je me faisais plus punir quand je mentais et lorsque j’avouais ma faute.

Quand je grandis, je me mis à mentir à mes copains sur ma vie, et faisais croire que j’avais une existence de rêve, mais je me résignai vite, je compris que cela ne me servirait à rien pour me faire des amis. Je continuais toujours à mentir à mes parents sur mes notes ou sur mes cours du jour. En classe de CM2, je mentais chaque soir sur mes devoirs, et ne les faisais jamais.

Quand je rentrai enfin au collège, je ne fis pas encore la même erreur, et décidai de dire la vérité à mes copains sur ma vie. L’année de sixième fut la pire année du collège pour mes parents, je ne faisais que leur mentir et ne comprenais pas la gravité de mes actes, je pensais que ce que je faisais était une bêtise comme les autre. Mais ma mère le voyait d’un autre œil, comme un crime contre l’humanité.

Elle me le fit comprendre plusieurs fois en me disant de prendre garde à moi si je n’arrêtais pas de mentir.

Quand je rentrai en classe de cinquième, je commençais à avoir de sérieux problèmes avec le mensonge, je dupais même les professeurs.

Et puis, en fin d’année, on me diagnostiqua mon handicap. J’étais atteint d’une sorte d’autisme de haut niveau, le syndrome d’Asperger. Alors, je rencontrai un psychologue régulièrement pour lui parler de mes problèmes, et en particulier le mensonge. De la cinquième à la quatrième, je m’améliorai mais ce n’étais pas assez. Aussi, je devais cacher mon infirmité à mes camarades, craignant leurs railleries et c’était aussi un mensonge

Actuellement, je continue constamment à mentir. Pourquoi ? Je pense que c’est parce que je suis atteint de procrastination et que je veux toujours tout reporter au lendemain ma punition pour ne pas me faire gronder.

Aujourd’hui, je poursuis encore dans le mensonge, même si j’essaie de le limiter dans la maison, parce que les conséquences sont lourdes pour moi : j’essuie un sermon de mes parents qui me punissent.

Malgré cela, je continue à mentir, ne comprenant pas mes bêtises.

Je mentais pour des choses bien précises

s :

-par exemple, quand je volais un livre à ma sœur ou à mon beau-père avant qu’il-elle l’est lu, mes parents me repéraient et m’accusaient. Je niais presque tout le temps mais j’étais repéré et ils me punissaient en me donnant des lignes à recopier.

Dès fois, je prenais de la nourriture dans les placards de la maison. Quand mes parents le découvraient, ils me punissaient de dessert.

Quand je mentais pour mes devoirs, mes parents me privaient de jeux vidéo ou me faisaient faire des rédaction sur le mensonge

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