Ses chômage structurel

Riad

Mohammed Benkada

TG2

DM SES

       Le chaumage est aujourd’hui au cœur des préoccupation des économiste modernes et contrains les états a mobiliser les instruments les plus divers pour l'enrayer. La crise des année 70 c'est accompagnée d'un chaumage de masse. Depuis, même en période de forte croissance, le chômage n'est jamais descendus sous la barre des 7% ce qui montre que le chaumage n'est pas seulement conjoncturel (lié a un ralentissement de la demande globale) mais qu'il a une composante structurelle qui, d’après les économiste néoclassique serais une imperfections du marché du travail.Nous nous demanderons donc quelle sont les différentes politiques qui peuvent permettre de lutter contre le chômage structurel. Dans une première partie, nous montrerons que la flexibilité du marché du travail est nécessaire pour lutter contre le chaumage structurelle. Dans une seconde partie que la formation est le deuxième axe majeur des politique de lutte contre le chaumage structurelle.

     Deux types d'imperfection sont mise en évidence. D'une part, les rigidités du marché du travail qui sont les règles et les normes perturbant le bon fonctionnement du marché du travail et empêchant sont autorégulation. A ce titre le droit du travail français est souvent jugée trop contraignant pour les entreprises notamment, pour les procédure de licenciement qui sont considérer comme très lourde. Ainsi  on observe qu'en France, l'emploi en CDD de moins d'un mois évolue régulièrement depuis 2000, passant ainsi d'environ 50% à environ 70% en 2018, soit une augmentation de 20%, alors que le nombre de salariés en CDI est passé d'environ 23% à 15% et les emploie en CDD pendant plus d'un mois de 30% à 15%.

      D'autre part, l'inadéquation de l'offre a la demande de travail. En effet de nombreux demandeur d'emplois n’aurais pas assez de qualification requise pour les poste proposé.

Afin de remédier aux imperfections recentrement cité,  il conviens premièrement de  flexibilisé le marché du travail souvent jugé trop rigide afin de permettre aux entreprises de s'adapter a leurs environnements concurrentiel.

D'autre part, la formation palliant l’inadéquation de l’offre a la demande de travail et un axe majeur a la politique de l’emploi en se quelle permet aux actifs de  s'adapter aux besoins des entreprises.

       Premièrement, différentes formes de flexibilités permettant aux entreprises de s'adapter au variation de la demande. Tout d’abord, on distingue la flexibilité quantitative qui vise a ajuster le volume d'heure de travail a la variation de la conjoncture, il existe d'une part les mesures de flexibilités quantitatives interne censé permettre a l'entreprise de s'adapter a une augmentation ou diminution de la demande en faisant varié numériquement le facteurs travail a l’intérieur de l’organisation par exemple, grâce aux heures sup Pour faire face a une augmentation de l’activité eco. On peux également mentionner le retour aux chaumage partiel qui permet aux entreprises de limiter la durée de travail de leurs salarié en cas de difficulté eco dus a un ralentissement imp de la demande.

       D’autre part, il existe des mesures de flexibilité quantitative externe. Il s’agit la de s’adapter aux variations quantitative de la demande en recourant aux marché du travail. Par exemple, En cas d’accroissement de l’activité eco, l'ent peut embaucher les salarié en CDD ou en intérim. Inversement en cas de ralentissent de l’activité de l'entreprise, elle peut être amener a licencier. Ainsi, l’assouplissement du droit du licenciement ou la moindre protection de l’emploi améliore la flexibilité quantitative externe. C'est le principe du modèle danois, il s’agit d’allier un marché du travail très flexible où il est facile d’embaucher et de licencier avec une protection élevée des salariés qui bénéficient d’allocations chômage élevées.

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