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Un Problème De Santé : La Catastrophe De Chernobyl

Mémoire : Un Problème De Santé : La Catastrophe De Chernobyl. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  17 Mars 2014  •  3 315 Mots (14 Pages)  •  858 Vues

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La pollution est l’introduction de polluants dans un environnement à un point que ses effets deviennent nuisibles à la santé humaine, à l’environnement ou au climat actuel. Il y a un très grand nombre de type de pollutions mais en général la pollution atmosphérique est un grave problème de santé mondiale et devient un plus gros problème au fils des années. Parmi les dix villes les plus polluées dans le monde, la ville de Chernobyl en Ukraine en est une parmi celles-ci. La ville est victime d’une pollution radioactive causée après l'explosion de la centrale nucléaire de Tchernobyl, le 26 avril 1986. Tchernobyl reste dans le top 10 en raison des résidus radioactifs toujours présents sur le site et qui le seront encore pour de très longues années. L’accident de Tchernobyl sur la santé est très important car elle informe le public des effets possibles de la pollution radioactifs et les mesures à prendre si un accident de tell impact aurait lieu à un autre endroit dans le monde. L’accident a causée plusieurs décès, l’augmentation de l’incidence de plusieurs problèmes de santé comme celle du cancer de la thyroïde et plusieurs autres. En premier lieu, il conviendra d’énumérer et examiner les effets sur la santé des populations affecté par l’accident. Ensuite, décrire les mesures de prévention et de protection qui ont et qui devrait être fait pour améliorés la santé des gens.

L’impact de l’accident de Tchernobyl sur la santé humaine a été beaucoup étudié mais il reste encore plusieurs recherches à faire. Ceci est du car les résultats varis à chaque année et de nouveaux faits surviennent. Il est difficile de constater l’ampleur réelle de l’accident sur la santé humaine car les effets de l’accident perdurent encore aujourd’hui sur les territoires les plus contaminés de Russie, Biélorussie et d’Ukraine en raison de la longue demi-vie (30 ans) du césium 137 (élément radioactif libéré). Il suffira donc d’énumérer les effets de l’accident selon les recherches scientifiques les plus récentes. Ces références scientifiques sont celles de (United Nations scientific committee on the effects of atomic radiation), (Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire), (International Atomic Energy Agency) et de (GreenPeace). Selon eux, les effets immédiats de l’accident à causés 134 personnes (parmi le personnel de la centrale, des liquidateurs et de travailleur d’urgence) à recevoir des quantités élevé de radiation qui a résulté d’un syndrome d’irradiation aiguë. Plusieurs d’eux, on aussi eut des graves blessures de la peau. Cette quantité élevée de radiation a causé la mort de 28 personnes parmi les 134 dans les 4 premier mois qui suivent l’accident. De plus, jusqu’en 2006, 19 survivants du syndrome d’irradiation aiguë sont décédés suite à de diverses causes dont la plupart sont non liées à une exposition aux rayonnements ionisants (arrêt cardiaque, tuberculose pulmonaire, cirrhose du foie, traumatisme, cancer). Parmi les survivants des 134 intervenants ayant présenté un syndrome d’irradiation aiguë peu après l’accident, on remarque une incidence de leucémie et de cataracte qui sont les principales séquelles observées parmi eux aujourd’hui. Comme il y a déjà été mentionné, l’accident touche aussi plusieurs gens dans les régions de l’Ukraine, Biélorussie et de Russie qui eux, sont victimes des effets à long termes. Cela affectera leur santé de diverses manières. (United Nations scientific committee on the effects of atomic radiation, 2011; Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire, 2011; International Atomic Energy Agency, 2006; GreenPeace, 2006)

D’abord, le premier et le plus observé des effets causé par la catastrophe est le cancer de la thyroïde.

L’une des principaux radionucléides libérés par l’accident de Chernobyl est l’iode-131 qui est significatif dans les premiers couples de mois. La glande thyroïde accumule l’iode du courant sanguin comme partie de son métabolisme normale. En conséquent, la retombé d’iode radioactive conduit considérablement au contact du thyroïde de résidus local par l’aspiration et l’ingestion de manger, spécialement le lait qui contient de niveau élevé de radioiode. La glande thyroïde est l’une des organes le plus susceptible au cancer induit par radiation. Parmi la population les enfants sont les plus vulnérables. Il y a une augmentation importante de cancer de la thyroïde selon les enfants exposé après l’accident. (International Atomic Energy Agency, 2006, p.16)

La contamination du lait de l’iode-131 et l’aspiration de celle-ci a conduit à 6000 cancers de la thyroïde observés jusqu’à date parmi les gens qui était des enfants ou des adolescents au moment de l’accident. Par l’année 2005, 15 cas ont été mortels. (United Nations Scientific Committee on the Effects of Atomic Radiation, 2011, p.65) Il est attendu que l’augmentation de l’incidence du cancer de la thyroïde dans les trois pays va continuer d’augmenter pour plusieurs années. (Voir l’illustration attachée à la fin de cette dissertation sur le cancer de la thyroïde; United Nations Scientific Committee on the Effects of Atomic Radiation, 2011, p.191). Le cancer de la thyroïde n’est pas le seule type de cancer d’avoir augmenté en termes d’incidence, la leucémie a aussi été observer chez les gens habitant dans les régions les plus contaminées.

A partir de 1992, des augmentations significatives de l’incidence de la leucémie sous toutes ses formes peuvent être détectées dans l’ensemble de la population adulte du Bélarus. En Ukraine, la fréquence des formes malignes de cancers du sang enregistrée dans les régions les plus contaminées est significativement plus élevée pendant les quatre premières et sixièmes années après l’accident qu’au cours de la période précédente. Après l’accident, la leucémie de l’enfant dans la région de Tula dépasse significativement les taux moyens enregistrés en Russie, particulièrement chez les enfants âgés de 10 à 14 ans. Certaines données suggèrent même une augmentation du risque de leucémie pour les enfants irradiés dans le ventre de leur mère. Des taux élevés de leucémie grave son aussi aperçues chez les liquidateurs du Bélarus qui sont enregistrés pour la première fois en 1990-1991. (Greenpeace, et collab, 2006, p.13).

L’incidence des différents types de cancer sont aussi en augmentation significative en Russie, au Bélarus et en Ukraine depuis la catastrophe. Les impacts sont principalement perçus parmi les liquidateurs, les enfants et les populations des zones contaminées. Un cancer en incidence parmi les femmes dans ces populations est celles des voies respiratoires. Depuis

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