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Corneille : l'illusion Comique, et le Menteur

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Par   •  8 Octobre 2014  •  Analyse sectorielle  •  4 803 Mots (20 Pages)  •  942 Vues

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Philosophie : Présentation générale :

Corneille :

l'illusion Comique, et le Menteur

La vérité est la question de la philosophie. C'est avec cette ambition la que la philosophie est née. Il y a presque identité entre cette ambition philosophique, de dire le vrai ou de connaître la vérité.

Le vrai et la Vérité deux expressions différentes : c'est comme morale et éthique, on peut les considérer comme synonyme selon la construction de la phrase on utilise l'un ou l'autre.

Mais dans la philosophie on peut distinguer les deux :

- le vrai est la caractéristique d'un discours référer a une base fondamentale qu'il s'agira d’établir : le réel, la définition....

- La vérité : a une dimension plus métaphysique, il y a un absolu.

L'ambition d’être capable de dire le vrai, ou de pouvoir contempler la vérité, c'est avec cela que naît la philosophie et toute la tradition philosophique européenne. C'est la marque de fabrique de cette tradition, il y a dans toutes les traditions des sagesses mais qui ne se sont pas donner pour but une telle démarche d'atteindre la clarté de la vérité et du vrai.

Exemple :

La méditations orientale alors que les occidentaux sont sur un raisonnement démonstratif ou des dialogues, qui marque notre tradition philosophique.

Logos : discours articulé.

On voit souvent des penseurs sceptiques comme Hume se méfient du label philosophe, ceux qui mettent en doute la possibilité d'existence de la vérité, refuse le titre de philosophe, en considérant les philosophes comme des dogmatiques, scolastiques. ..

Ainsi, la recherche de la vérité ( Malebranche) marque la tradition philosophique.

Cette ambition on pourrait de demander si et dans quelle mesure elle rejoint notre disposition général ?

Est elle naturelle, est ce qu'on peut dire : «  de tout temps l'homme a cherché ma vérité ?

«  ne faut il pas avouer au contraire qu'on générale on ne s'en préoccupe pas ?

L'homme de tout temps il n'en a pas vraiment besoin, il n'y prête une attention très vague, se contente d'approximations : («  la plus par du temps la vérité vit a crédit » texte annexe → il y a un lien de confidence qui fait que l'on compte sur l'autre pour qu'il dise la vérité : voilà la plus part du temps la vérité pour nous).

On se contente bien souvent des pourtours brumeux. Il y a eu des débat entre les commentateurs :

la brume montre qu'on ne parvient pas a faire de perspectives

et d'autre disent qu'il y a différente façon de voir la perspective, de situer les plans les un par rapport aux autres. Cette brume fait parti d'une représentation et n'est pas la pour cacher une maladresse ou un manque de maîtrise, donc ici ce contour nébuleux, et le fait que notre rapport a notre vérité ne soit pas claire et distincte. Est ce que c'est une déficience ou le registre adapté a notre vie concrété ? Doit on être honteux d’être si peut claire. On se contente d’être équivoque.

Univoque : ce qui n'a qu'un sens possible

équivoque : ce qui a plusieurs sens possibles et entraîne des mises en confrontation.

L'équivocité appel une interprétation et le débat entre ce qui est bon a retenir.

La religion : y a t il une interprétation des textes ?

La judaïsme, le christianisme, et l'islam s'appuient sur des livres. L'islam a sacralisé le livre plus que les deux autres. Dans les rapports aux Coran, il a eu l'idée que Dieu tenait la main du prophète. LA notion d’interprétation est plus délicate dans le domaine religieux. On a la question de la liberté orthodoxe d’interprétation ( Est ce qu'il ua une autorité qui donne une interprétation , les autres étant hérétiques ? )

la rédaction d'un monde d'emploi ?

L'équivocité peut mener a des accidents. On recherche l'univoque, elle évite les dysfonctionnements/ accidents, d’où des réflexions dans les entreprises, pour clarifier les consignes.

On voit que cela demande du travail, c'est laborieux, il y a des débats.

Un travail épineux, compliqué, et donc bien souvent on se contente de L'équivocité. Et la philosophie a pour but de reconduire la destinée de la vérité, trop souvent oubliée, avant d'approfondir cette question on a quelques exemples emblématiques on peut cité Socrate.

Dans l'apologie de Socrate, il se compare a taon : Socrate affirme qu'il sort les Athéniens de leur sommeil dogmatique. Il aiguillonne les Athéniens et a affaire aux Sophistes, l'ambition philosophique de vérité s'oppose a l'opinion d'autres part au sophisme.

Deux manquements bien différents a la vérité ;

- opinion : se n'est pas vraiment une idée, quelque chose de vague, que l'on dit sans réfléchir, qu'on dit en reprenant ce que disent les autres, comme tout le monde le dit personnes ne le dit.

Le sophisme : est le propos dévié volontairement, dans le Gorgeas. Le médecins sait ce qui sait guérir mais le sophiste sait dorer la pilule, et donc il va convaincre plus facilement le patient. Le sophiste fait de même dans la politique, car il ne sait pas ce qui est bon pour la citée mais sera faire croire a la foule qu'il faut faire CA pour leur bien.

Hannah Arendt : Dans la crise de la culture :

«  le menteur est tu plus efficace que celui qui se veut a la vérité car il construit sa parole en vue d'un effet déterminé ».

Le logos est ouverture a l vérité alors que les sophistes en fond un outil, il instrumentalise le logos pour aboutir a la leur fin.

C'est l’emblème que la philosophie peut être un réveil.

Descartes : 

il

...

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