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Exposé sur la peinture : A l'aube de Hermans

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Par   •  22 Mars 2015  •  1 291 Mots (6 Pages)  •  3 339 Vues

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Exposé sur la peinture : A l'aube de Hermans

1. peinture

a. analyse picturale

Introduction :

Petite présentation de l'auteur : Charles Hermans, né à Bruxelles en Belgique le 17 août 1839 et mort à Menton aux Alpes-Maritimes en France, le 7 décembre 1924, est un peintre belge. Hermans est né d’une famille bourgeoise n’ayant jamais fait obstacle à ses aspirations artistiques.

• courant artistique : une œuvre clé du réalisme car c'est le courant dominant dans l’art et la littérature durant la seconde moitié du XIXe siècle ; sa naissance coïncide avec de profonds changements politiques et sociaux.

• Le sujet traité : Il s’agit d’un courant représentatif, tant par le sujet réaliste que par ses tendances sociales, réalisé sur un format précédemment réservé à la peinture d’histoire.

• La composition : On peut remarquer que de loin les personnes du tableau auraient la même taille qu'en réel. Il à jouer sur les détails du visage pour montrer les émotions des personnages. C’est un plan moyen car nous pouvons observer tout le corps de toutes les personnes. Nous pouvons constater que la classe ouvrière se tient bien droit comme des gens civilisé. Les bourgeois en revanche ont le dos rond, sont courbés, tassés, les bras qui flottent, c’est la débauche. Ils sortent d’un bordel après une nuit de folie et partent dormir alors que les ouvriers eux commence leurs journées. Il y a un bouquet gaspillé jeté à terre et un caniveau d'ordure.

• les couleurs : le peintre à utiliser des couleurs ternes. Les couleurs dominantes sont les couleurs sombres du noir/gris pour les ouvriers. Pour les bourgeois les couleurs dominantes sont le rouge et bleu de la robe.

 L'harmonie : c'est un dégrader de couleur foncé au plus claire du bas gauche vers le haut droit du tableau.

 La lumière : sombre du côté des ouvriers et un peu plus lumineux du côté des bourgeois.

• les formes: La partie ouvrière forme une pyramide alors que les bourgeois forment une ligne (chaîne).

• la technique : la charnière verte de la porte sépare les deux classes sociales. La marche montre la supériorité des bourgeois ainsi que les robes que portent les femmes bourgeoise en soi tandis que les ouvriers sont vêtus de vêtements en matières brute non travaillé, qui sont usée à cause de leur travail (ils n'ont que ça à porter).

• les effets produits : plusieurs émotions sont dégagées de ce tableau : l'homme ouvrier éprouve de la honte à montrer la débauche à son fils. Les travailleurs sont ternes et fatiguer. La femme à coté jette un regard de jalousie sur la robe de la femme bourgeoise qui sort du bordel. Les bourgeois sont heureux, joyeux après avoir fait la fête mais les ouvriers sont tristes. La femme en turquoise se penche sur l'homme avec un regard langoureux et lui montre sa poitrine. Les hommes riches sortent du bordel.

• la réception : lors de sa sortie le tableau devient une sensation au Salon de Bruxelles de 1875, où il établit sa réputation. L’œuvre reflète alors ces idées racistes et qui furent étayées par les craniométries avec lesquelles l’infériorité de larace flamande fut considérée prouvée de manière scientifique, pour une fois et pour toute.

B.analyse de l’œuvre par rapport au monde du travail

• le lien avec le monde du travail : Les ouvriers vont seulement travailler alors que les bourgeois eux vont dormir. Ils doivent travailler dur pour gagner un peu d’argent et nourrir sa famille alors que les bourgeois sont riches donc ils n’ont pas besoin d’aller travailler puisqu’ils ont déjà tout.

• analyse globale de l’œuvre : Ce tableau est partagé entre un groupe à gauche représentant les ouvriers flamands et le groupe à droite représentants la classe dirigeante des débauchés appartenant à la race latine (espagnoles--> éventailles), discernable par les cheveux foncés, accompagnés d’une femme blonde. Au matin, des riches dépravés en robe quittent le salon, un établissement de divertissement dans la capitale belge. Deux femmes s’accrochent à un homme ivre mort, de façon qu’il semble qu’une d’elles, celle ayant l’air de n’être pas moins bourrée que l’homme qu’elle accompagne, suivra bientôt le bouquet de fleurs dans sa chute dans l’égout. Des ouvriers

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