LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

Étude du roman Le dernier jour jour d'un condamné de Victor Hugo

Mémoire : Étude du roman Le dernier jour jour d'un condamné de Victor Hugo. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  14 Janvier 2013  •  863 Mots (4 Pages)  •  1 430 Vues

Page 1 sur 4

1- Une heure sépare le condamné de son arrêt de mort.

2- Le narrateur a qualifié le bourreau de valet de la guillotine.

3- La toilette du condamné commence à trois heures, elle consiste à couper les cheveux du condamné au hasard, ainsi que le col de sa chemise.

4- Les personnes ayant assisté à la toilette du condamné sont : le prêtre, les gendarmes, le bourreau, ses deux valets (assistants) et un jeune journaliste.

5 Le bourreau s’appelait Samson.

6 Tantôt le narrateur compare les cris du peuple aux aboiements des chiens, tantôt aux hurlements des loups .

7 L’indice qui montre la richesse du narrateur est : la chemise de batiste .

8 Le narrateur a surnommé ceux qui vendent les places aux spectateurs de « marchands de sang humain »

9- Quand il entendit les cabaretiers crier « qui veut des place » le narrateur s’est mis en colère.

10- Le narrateur a qualifié les spectateurs de : cruels et avides

11- Le narrateur a été transféré à l’Hôtel de ville qui donnait sur la place de la Grève

12- « eux les chapeaux moi la tête » : Le narrateur fait allusion à sa décapitation.

13- Figures de style :

- Depuis six heures, depuis six semaines, depuis six mois. ( Gradation)

- Ces bourreaux sont des hommes très doux ( antiphrase)

- Les mille têtes hurlantes du peuple. ( Synecdoque)

- Cet atroce éloge. (Oxymore)

- Puis de la foule, de la foule et de la foule. ( Anaphore)

- Une mer de têtes sur la place. ( Métaphore + synecdoque)

- La place a éclaté en bruit. ( métonymie)

- Des marchands de sang humain criaient. ( Périphrase)

Les registres littéraires :

Le texte s’apparente à deux registres principaux :

Le registre tragique : le narrateur nous décrit le trajet allant de l’Hôtel de ville à la place de la grève, au fur et à mesure que la charrette avance, la peur du narrateur s’accroît « Le cœur m’a failli » « j’ai tremblé ».

- Le visage et les bras rouges des bourreaux renvoient au sang et connotent ainsi la mort.

- L’attachement du narrateur au moyen d’une corde, illustre

...

Télécharger au format  txt (4.3 Kb)   pdf (70.5 Kb)   docx (10 Kb)  
Voir 3 pages de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com