Étude du Chapitre 3 Du roman Zadig de Voltaire

Dans le chapitre III de Zadig, roman et conte philosophique de Voltaire, le protagoniste vit une aventure tres bizarre.

Accuse ' du vol de la chienne et du cheval de la reine parce qu'il les decrit parfaitement en devinant leur apparence par les traces qu'ils ont laissees dans la foret, il est enfin mis en liberte apres qu'on a retrouve' les deux animaux mais il est condamne quand il ne dit rien a propos d'un prisonnier echappe et qui est passe sous les fenetres de sa maison.

Or les elements illogiques sont qu'on juge que Zadig n'a rien fait quand on retrouve les animaux de la reine et on le juge coupable de la fuite du prisonnier seulement parce qu'il ne dit rien.... tout cela toujours sans preuve.

D'ailleurs, plusieurs sont les elements injustes: on condamne Zadig sans epreuve pour le vol de la chienne et du cheval et “on lui prouva qu'il avait regarde par la fenetre” quand on le condamne pour la fuite du prisonnier.

Zadig fait preuve de “subtil discernement” admire' aussi par tous les juges.

Son fort esprit d'observation et son intelligence font parler de lui la cour intiere.

Ses qualites ne sont pas reconnues par le monde qui l'entoure parce qu'elles ne lui appartiennent pas. Les juges , les officiers du roi obeissent au pouvoir sans se poser des questions. Zadig montre aussi une certaine ingenuite dans son comportement qu'on retrouve dans les paroles de Valery: ”Entrer chez les gens pour deconcerter leurs idees....c'est, au moyen de l'ingenuite feinte ou reelle, donner a ressentir toute la relativite' d'une civilisation....”

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